29/12/1999 – TOUJOURS AUCUN SIGNE EN FAVEUR DE LA LIBÉRATION DES PRISONNIERS POLITIQUES AVANT LE 31/12/1999. LE RÉGIME SE RADICALISERAIT-IL ENCORE DAVANTAGE ???

En dépit des nos appels, des milliers de pétition reçus sur notre site, des condamnations émanant de toutes parts (ONG, Parlement Européen) M. GUELLEH radicalise son régime (comme ce fut le cas en Côte d’Ivoire …).

Pour essayer de se maintenir au pouvoir, il viole les Droits de l’Homme : emprisonnements arbitraires pendant des années sans jugement, exécutions sommaires, tortures, destructions de villages et de points d’eau, viols des femmes, privation de la liberté de circuler librement, harcèlement des opposants etc, ….

M GUELLEH détournerait une partie importante des aides internationales pour son profit personnel et pour celui de ses proches. Nous sommes informés de nombreux transferts financiers qui pourraient lui permettre de constituer un patrimoine à l’étranger.

Ces informations, si elles sont confirmées, pourront être utilisées pour obtenir un jour le blocage de tous les avoirs de MM APTIDON et GUELLEH … quand la justice internationale décidera d’étudier les plaintes qui sont déjà déposées et celles qui sont en cours de constitution pour Crimes contre l’Humanité.

Jusqu’au soir du 31 décembre 1999, nous espérons toujours un signe fort en faveur d’un retour à la démocratie et à la justice. S’il n’arrive pas nous en tirerons les conséquences avec toutes les ONG et nous nous rapprocherons du Gouvernement français, de l’Union Européenne et de l’ONU pour leur demander de prendre les mesures qui s’imposent et d’étudier la mise en oeuvre de l’Article 5 de la Convention de Lomé.