07/09/02 TOURISME ET LOISIR 2 : de nouveaux contrastes alarmants concernant l’état de la Ville de Djibouti et les risques de pollution et d’épidémies

De
l’autre côté, la ville, dont CHIDEH a la charge, s’enlise sans espoir, sur un fond de décharges
sauvages et d’eaux usées stagnantes, que les services municipaux n’ont
pas les moyens d’entretenir régulièrement

Et
pourtant depuis de nombreuses années, l’Etat et la Ville
ont reçu des fonds européens pour assainir la ville.
Où sont-ils passés ?
Devinez ??? Sans se tromper, nous pouvons affirmer qu’ils n’ont
pas servi qu’à entretenir la Mairie et le beau bureau de
Chideh . Ils ont récompensé des sbires, privilégiés, mais soutiens inconditionnels de ce système de voyous !!!