21/07/02 Une autre manière de considérer la mort du Général (Lecteur)

Il
faut bien reconnaître
que Guelleh a le mérite
d’avoir transformé
le bourreau en martyr.
En le laissant mourir
sans soins, le Général-bourreau
est devenu une victime
du régime.

Est-ce
le dernier hommage
qu’IOG a voulu rendre
à son ex-ami
de trente ans, en
réhabilitant
sa mémoire.
Je ne suis pas sur
que ce fut la motivation
de fond du Génie
de la Corne, mais
c’est quand même
la conséquence…

Ma
famille a été
endeuillée
par la faute du Général.
Je n’en dirais pas
plus, maintenant qu’il
est mort et qu’il
affronte la justice
supérieure.
Cela ne m’empêche
pas d’adresser mes
condoléances
à ses femmes
et enfants, car ils
ne sont pas responsables
des actes du père.