13/03/04 (B238) Attentat sur la voie ferrée à Djibouti. (Info lecteur confirmée par le GED)

Cette information nous
arrive après toutes les nouvelles sur l’horrible attentat qui a été
commis à Madrid. Elle est confirmée sur le site du GED.

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Bonjour et merci de combattre
cette dictature.

Hier soir entre 23h00
et minuit, une forte explosion s’est produite à proximité du
CHU Bouffard. Il se trouve que c’était une explosion sur les rails,
juste en face de l’hôpital militaire français. Heureusement le
train était passé une demi-heure plus tôt. Il semble que
les débris des rails se soient envolés jusqu’au Boulevard de
Gaulle atterissant sur le trottoir du kiosque Napoléon.

On peut raconter tout
ce qu’on veut, mais je suis persuadé personnellement que cet acte aurait
pu avoir été commis par les milices d’IOG. Pour la simple raison
qu’IOG est très malmené depuis plus deux semaines et qu’il ne
supporte vraiement pas l’épreuve.

L’armée reste sur
ses positions. IOG fait semblant de punir l’Etat-Major et il contraint les
Généraux Fathi et Zakaria à rester dans leur domicile.
Pour la petite histoire Zakaria a déclaré que cette situation
remonte à l’époque ou Ali Meidal le punissait.

De plus les transports
en commun se sont mis en grève ce matin. Les étudiants ont manifesté
et ils ont tout cassé sur leur passage. Ils ont enlevé le peu
des panneaux de circulation routière présents en ville. Ils
ont même mis le feu à des pneux sur la route qui conduit au Boulevard
de Gaulle. Ceci entre 07h00 à 13h00.

Avant cela, IOG faisait
usage, disait-on, de nombreux gris-gris. Il faisait des tas de détour
imprévus pour se rendre à la Présidence, j’allais dire
au café. Aujourd’huit c’était incroyable : Il a utilisé
la route de la Siesta, puis emprunté la direction de l’Hôpital
Peltier, ensuite direction du port, puis tournant à gauche devant les
Ets Coubeche, il a foncé sur la route de Venise pour entrer dans son
Palais.

Savez vous ce que l’on
raconte en ville. Des femmes africaines, originaires de l’Ouganda, vivraient
dans les jardins de la Villa d’Harramous. Chaque matin, pour offrir à
IOG leurs recommandations, elles se dévétiraient, puis elles
tourneraient leurs postérieurs vers la mer … pour trouver l’inspiration.
Oui, est-ce comme cela que le pouvoir, que la peur ne quitte plus un seul
instant, prendrait ses décisions … ?