28/04/04 (B244) L’agent comptable de l’ONED nous a demandé de publier sa réponse à la contribution de Monsieur Houmed Daoud.

___________________________ Note
de l’ARDHD
Comme cela est la coutume, nous publions cette réponse. Nous nous étonnons
simplement de la violence verbale des attaques, qui affaiblit la qualité
du texte. Certains pourraient penser que son auteur a vraiment été
touché et d’autres pourraient imaginer qu’il y a des raisons.
Mais nous n’avons pas à juger du fond.
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DROIT DE REPONSE : informer
n’est pas diffamer

Suite à l’article
publié sur le site Internet w w w. ardhd. org, je suis dans l’obligation
d’user de mon droit de réponse afin de porter à la connaissance
du public quelques éclaircissements tant sur son contenu que sur son
auteur.

Le site en question semble
avoir ignoré les règles les plus élémentaires
sur le droit d’informer et préféré confondre informer
avec diffamer.

Cet article digne d’une
publication de caniveau ne contient aucunement une analyse de la situation
politique qu’il prétend dénoncer ou une information à
caractère politique pouvant intéresser l’opinion publique. C’est
plutôt le délire d’un individu aigri par son échec social
et qui tente d’endosser un habit d’homme politique dont l’envergure lui fait
défaut.

Mais qui est en réalité
l’auteur de cet écrit nauséabond ? C’est un escroc à
la petite semaine très connu des vendeuses de khat de Tadjourah ville
où il écoulait les fruits de ces rapines.

Son mode opératoire
est très connu dans le milieu associatif car il excelle dans l’art
de monter de projet bidon dont les produits sont ensuite écoulés
au détail.

Son premier fait d’armes
a été le projet apicole de Didaleh que toute une communauté
avait sué du sang pour concrétiser.

Une fois atteint la phase
d’exécution tout le matériel entreposé à son domicile
a été écoulé sur le marché de Tadjourah
Ville : matériel de jardinage vendu au maraîcher de la région
; grillage cédé à vil prix à un médecin
de la ville…

Conforté par son
premier escroquerie, il passe à la vitesse supérieure en s’attaquant
à un plus gros poisson, en l’occurrence l’armée française
stationnée à Tadjourah ville à qui il tente de soustraire
quelques subsides sous prétexte qu’elle utilisait un terrain appartenant
à son cousin maternel.

Mais peine perdue car
sa tentative a échoué lamentablement.

Cependant l’escroquerie
est un soucis communément partagé par cette famille.

Son frère employé
à la BCIMR lui aussi a laissé un souvenir impérissable
auprès des petits épargnants de Tadjourah ville. D’ailleurs
un fonctionnaire à la retraite M. HALLOYTA MOHAMED proche de sa famille
en sait quelques choses puisse qu’il a été soulagé d’un
peu plus de trois millions de nos francs.

Jusqu’à ce jour
ce paisible retraité n’a pas pu récupérer son argent.

Son autre frère
n’a pas hésité à vouloir arnaquer son propre beau-fils
en tentant de faire main basse sur son fond de commerce.

Toutes ces informations
sont du domaine public et sont aisément vérifiables.

Quant à M. HOUMED
DAOUD après avoir écumé la république de DJIBOUTI
et escroqué maints individus il a préféré s’envoler
vers des cieux plus cléments afin de s’exercer à d’autres activités.
Il faut bien reconnaître que cet individu a beaucoup d’autres cordes
à son arc.

Ainsi, il change de rôle
et de décors pour endosser le costume de vrai -faux exilé politique.

Je tiens à rappeler
que dans le cadre de ces nouvelles activités, ce dernier a séjourné
à plusieurs reprises à Djibouti et a même profité
de la générosité du Premier Ministre dont il dénonce
aujourd’hui les actions politiques.

Décidément,
M. HOUMED DAOUD a une fâcheuse habitude et excelle dans l’art de cracher
dans la soupe.

Cependant il n’est un
secret pour personne que je partage les engagements politiques du Premier
Ministre non pour des raisons d’intérêts partisanes mais pour
des raisons de principes. Cette attitude peut sembler bizarre à des
individus de son acabit qui sont dépourvus de toute moralité
et guidés par des envies pécuniaires.

Par ailleurs, SON EXCELLENCE
DILLEITA MOHAMED DILLEITA est un premier ministre dont la réputation
n’est plus à faire. Par ses engagements constants et fréquents
auprès des plus démunis, dont il s’acharne à améliorer
le sort il a une nouvelle fois démontré sa volonté de
faire la politique autrement. Ses actions politiques dans le domaine du développement
sociaux économique lui valent d’ailleurs l’estime et le respect de
tous ses concitoyens et plus particulièrement auprès des originaires
de Tadjourah.

Ces derniers ont pu constater
à maintes reprises les soucis constants de son Excellence DILLEITA
MOHAMED DILLEITA malgré les appels des sirènes de certains individus
dont l’objectif reste le maintien de notre région dans un sous développement
chronique afin d’en faire un réservoir de mécontentement.

En outre s’agissant des
élucubrations de l’auteur dudit article, elles ne sont que les fruits
d’imagination d’un esprit torturé et guetté par la folie.

En effet, l’autre gène
communément partagé par cette famille est celui de la folie
car cet individu est fils et frère des individus mentalement dérangés.

Enfin s’agissant de M.
KAMIL, il est de notoriété public que c’est un homme de culture
et de cœur, et qui est fier d’avoir compté parmi les comédiens
les plus doués de sa génération.

Il est nullement un intermittent (décidément l’actualité
française joue des mauvais tours à HOUMED DAOUD) mais plutôt
une des personnes pivot de son ministère dont il a gravi les échelons
un à un de l’administrateur du théâtre de saline en passant
par le poste de directeur pour le poste de conseiller technique qu’il occupe
aujourd’hui.


L’AGENT COMPTABLE DE L’ONED
M.
HOUMED MOHAMED KAMIL