30/06/04 (B253) Les Agents d’IOG ont échoué dans toutes leurs tentatives pour semer la zizanie entre les Djiboutiens… au Canada.

En ce jour de la fête
de l’Indépendance, les agents d’IOG n’ont pas réussi à
diviser les Djiboutiens.

La fête nationale
de notre cher pays a été célébré avec faste.
En dépit des tentatives des agents 007 /008 AWAD, ce sont plus 700
personnes qui ont partagé cette soirée avec toute la communauté
djiboutienne qui était représentée. La soirée
des agents 007 et 008 a attiré peu de mondet elle n’a pas perturbé
notre soirée..

Le grand chanteur Afar
venu spécialement de Belgique, la grande chanteuse Neima Djama et le
grand chanteur somalien SAMATER ont animé toute la soirée jusqu’à
3h30 du matin.

Plusieurs personnes, qui
avaient été induites en erreur, par les agents d’IOG, sont venues
nous rejoindre plus tard. On peut affirmer, avec force, que les Djiboutiens
ont retrouvé leur unité malgré les tentatives de division
organisées par le régime. Les agents 007 et 008 avaient utilisé
les vieux arguments éculés de l’époque coloniale : des
initiatives aussi démagogiques et populistes que soporifiques et cosmétiques.

Les Djiboutiens veulent
avancer dans une perspective de justice et d’égalité pour tous.
Nous voulons éviter le modèle somalien où le tribalisme
a atteint un niveau absurde de destruction. Je voudrais simplement dire aux
agents des IOG que les Djiboutiennes et que les Djiboutiens ont atteint un
haut degré de maturité politique.

Ils peuvent employer toutes
les méthodes inimaginables, comme celles que pratiquent le recruteur
de la SDS : No 3 HASHI AFWANEH, dit la grande bouche.

Les Djiboutiennes et les
Djiboutiens d’Ottawa, sont convaincus, depuis fort longtemps, que le racisme
et le tribalisme sont des maux cousins et qu’ils n’apportent rien de bon..

En effet, le racisme et
le tribalisme sont quasiment identiques. A la différence du fait que
le tribalisme sévit à l’intérieur d’une même race,
voire d’une même ethnie et d’un même pays alors que le racisme,
à des exceptions près, s’applique aux étrangers considérés
comme des envahisseurs.

Le tribalisme, en revanche,
concerne des groupes vivant ensemble depuis toujours et dans le même
pays !

Comme le racisme, le tribalisme
part d’un "petit d’esprit", surtout quand il est promu par un homme
qui ose se prétendre le leader : tel qu’IOG. C’est gênant et
honteux de se proclamer ouvertement tribaliste. Alors, le tribaliste, C’EST
TOUJOURS L’AUTRE qui en est l’acteur et C’EST TOUJOURS SOI qui en est la victime
quand on ne lui prête pas en plus de mauvaises intentions. On trouve
toujours de bonnes raisons pour expliquer ses réactions et pour masquer
son tribalisme. Demandez donc à Jean-Marie Le Pen s’il est raciste
: il se prétendera insulté, lui qui ne prône que la préférence
nationale.

Vous risqueriez fort,
s’il était aux commands, de vous retrouver devant un tribunal, à
charge pour vous d’administrer la preuve de votre innoncence. La condamnation
pénale ne serait pas si loin !

Il faut que les Djiboutiennes
et que le Djiboutiens sachent que le tribalisme a aussi un coût très
élevé pour notre société et pour les citoyens
:

Coût social
Il mine la cohésion et l’unité nationales. Peut-on, en effet,
espérer bâtir une nation et engager la lutte pour le développement
concerté avec des citoyens qui s’exclueraient mutuellement ?

Coût économique

Il est dommage que dans notre pays, on ne chiffre pas les choses. Quand, par
exemple, le tribalisme préside à l’embauche en lieu et place
de la compétence et de la disponibilité (on crée un poste
juste pour embaucher quelqu’un), qu’on confie la direction des entités,
des entreprises ou des projets à des frères incompétents,
que des crédits soient accordés sur le même critère
et que l’impunité soit garantie, mesure-t-on ce que cette pratique
coûte à l’économie ? Ce n’est qu’un tout petit exemple;

Coût humain (*)
Il entretient des frustrations et fait le lit de la violence. Certes, il ne
s’agit pas toujours de grandes explosions de violence. C’est la petite violence
au quotidien, la petite violence pernicieuse; la violence ravalée née
du sentiment d’injustice et de rage impuissante et qui vous font "attendre
votre tour pour leur faire voir à ces gens là"; cette violence
là est plus dangereuse parce que plus profondément enracinée,
agissant comme une gangrène.

Par conséquent,
nous lançons un appelle aux Djiboutiennes et aux Djiboutiens afin qu’ils
fassent très attention aux agents d’IOG. Voici la liste des agents
d’IOG :

1. Agent Moussa RAGEH(Ancien
agent, toujours active, recruté
par Colonel SOUBAKLEH)
2. Agent 007 AWAD (SDS 03 Agent recruteur HASHI AFWAYNEH)
3. Agent 008 SALID (SDS 03 Agent recruteur HASHI AFWAYNEH)
4. Un autre Agent spécial est venu dans l’EST d’Ottawa.

Bientôt, la liste
sera complétée avec des photos…

Opposition
Djiboutienne

(*) Le tribalisme nie
l’individu, lui renie ses droits les plus élémentaires, l’empêche
de s’exprimer et de vivre tout simplement. Le pouvoir politique, économique
et social se trouve confisqué par un groupe qui prend prétexte
de cette usurpation pour se dire le meilleur et persister dans la perversion.
Le tribalisme s’auto-entretient ainsi.