25/07/04 (B257) Moussa Ali, l’un des protagonistes du dernier match de Boxe, organisé devant l’Ambassade de Djibouti à Bruxelles est-il un enfant de choeur (Un lecteur attentif)

Question que je
me pose :

Qui sont donc les hagiographes
improvisés de l’ambassade de Djibouti à Bruxelles ?

On peut légitimement
se poser la question à la vue du dernier article publié sur
votre site. Les propos de certains  » lecteurs » regorgent de détails
en tout genre, du nombre de conseillers, en passant par le nombre de chauffeurs,
de secrétaires ou encore de précisions « grivoises »
sur les parcours des uns et des autres.

Qui sont donc ces  »
lecteurs  » au manichéisme surfait qui nous abreuvent de détails
croustillants (un peu trop croquant à mon goût) ?

Une (mal) honnêteté
et un sens tout particulier de l’ (des) honneur semble (télé)
guider les polissonneries de ces derniers.

A ce tableau hollywoodien,
il est nécessaire de rajouter quelques bémols : mme Tayibo Elmi,
si je ne m’abuse, a été poursuivie et écrouée
à Djibouti pour des malversations dont elle s’était rendue coupable
à l’ambassade de Djibouti à Paris en compagnie de Djama l’ancien
ambassadeur aujourd’hui réfugié au Canada, Mr Houmed Abdallah,
quant à lui vient d’être rappeler à Djibouti non pas depuis
Bruxelles mais depuis Paris et enfin n’est ce pas sur vos pages que la fuite
rocambolesque de Mohamed Elmi, l’agent double démasqué, nous
a été contée.

Tout cela pour souligner
que ces mystifications  » orientées  » s’écroule devant
la réalité des faits.

Ceci étant, je
m’interroge sur les sources de ce  » lecteur  » si bien informé
(un peu trop même) : Moussa Ali ou son proche entourage auraient ils
décidé, très opportunément, de faire de l’ARDHD,
la tribune de leurs querelles à l’ambassade.

Quel en est le but inavoué
?

Pour ma part, il ne fait
aucun doute que la paternité de cet article incombe directement au
diplomate. Personne n’est dupe, Monsieur le premier Conseiller, cracher dans
la soupe pour vous draper d’une cape de chasteté pour, au final prendre
la fuite, ne changera rien aux faits et à vos antécédents
;

Que les masques tombent
! A quand le prochain épisode de la manipulation.

Peut être, devriez
vous l’intituler :  » Je suis Moussa Ali, je suis un enfant de choeur
 » (et je bats les femmes…?)

Un
lecteur attentif