26/07/04 (B257) Selon un article publié par le GED (sous la signature d’Abdourahman Yassin), 51% des entreprises auraient cessé leur activité en 2002, pour cause de ralentissement de l’activité économique, conséquence de l’action directe des prédateurs qui sont à la tête de l’Etat.

(…)Djibouti actuel « la
mal gouvernance » dans un Etat à la dérive qui ne survit
que par et pour les corruptions de haut niveau.

Parler de  » bonne
gouvernance  » au niveau du gouvernement actuel, dirigé par M Ismaïl
Omar Guelleh à Djibouti, ce serait ne pas prendre en considération
les réalités flagrantes d’un Etat miné par toutes les
corruptions, les passe droits, les monopoles instaurés dans un secteur
privé où – par l’absence de règles du marché comme
la pression fiscale suivant la méthode  » à la tête
du client  » ou en fonction des besoins financiers de la présidence
plus de 51 % des commerces ont fermé leurs
portes en 2002 alors que ces cessations d’activités ce sont accentuées
en 2003 pour quasiment laminer ledit secteur privé.
(…)

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