23/08/04 (B260) Guelleh préfère-t-il les étrangers aux nationaux djiboutiens ? (Lecteur)

Désormais,
ce n’est plus un secret pour personne : IOG préfère les étrangers
aux nationaux !

Probablement
parce que se sentant plus Ethiopien que Djiboutien, il accorde plus de confiance
aux étrangers.

Prenez
deux exemples :

Le premier concerne les investissements qu’il réalise
dans des Pays comme l’Ouganda (Jardin du thé) et la construction d’un Range
à Diri-Dawa.

La
seconde est l’octroi de la nationnalité aux etrangers et le refus des cartes
à la population originaire du nord de Djibouti (Afar).

Il y a à
peine quelques mois 1200 natuiralisations ont été enregistrées,
dont 5 originaires de pays éloignés du nôtre : 1 Rouwandais,
2 Ougandais et 2 Sénegalais, mais aucun afar. C’est Paulette, qui a décidé
personnellement pour presque mille d’entre eux !

La
règle de Paulette est simple : il faut impérativement être
d’origine Issak ou Mamassan ou par défaut avoir un conjoint ou une mère
originaire de l’un de ces deux clans.

A
part leurs origines ethniques qu’est ce que ces étrangers ont bien pu faire
pour justifier ces naturalisations massives, en dehors des Lois ?

Combien
de dossiers ont été instruits selon la procedure légale ?
Tout simplement le bosse ou sa femme ont décidé !

Parmis
les 5 ressortissants de pays éloignés, on notera trois femmes fameuses
pour leurs talents et pour leur corpulence. Pratiquent-elles de la sorcellerie,
chaque matin, en direction de la mer en tenue d’Eve, pour attirer sur Guelleh
les meilleurs auspices ?

Les
deux autres sont des enseignants. Ils instruisent les enfants de Paulette. Ensiegner
à des enfants (même de couple présidentiel) n’a rien de honteux
! Mais cela jusitifie-t-il la naturalisation ? Leurs services sont des services
rendus dans un cadre privé et non au bénéfice de l’Etat.
Tirer parti de sa position pour obtenir des avantages personnels est répréhensible,
dans tous les pays (Abus de bien social … !) et nous pouvons espérer
que la Justice redevenue libre et indépendante, aura à statuer aussi
sur cet aspect.