01/01/05 (B279) Nous ne sommes pas dupes. . . aucun de ces individus n’échappera à la justice le jour où le peuple décidera de prendre son destin en main. (lecteur)

Avant d’entrer dans le
vif du sujet, permettez-moi cher ARDHD, de transmettre à tous les démocrates,
aux amis de la liberté et de la dignité, à tous les intellectuels,
Djiboutiens et amis de Djibouti mes meilleurs voeux pour l’année 2005.
J’espère que l’année 2005 sera porteuse d’espoir pour tous les
déshérités, les damnes de la terre comme aurait dit Frantz
Fanon et tous ceux épris de liberté et d’égalité
a Djibouti comme ailleurs.

Je pense en particuliers
aux enfants et aux femmes spolies de leurs droits les plus élémentaires
dans bon nombre de pays et aux africains qui sont malmenés par le sous
développement plus de quatre décennies après les indépendances
virtuelles.

Cela étant dit
je souhaiterais répondre a l’inquiétude de l’internaute relative
à l’ambassade de Bruxelles.

Les ambassades djiboutiennes
ne représentent ni l’état djiboutien ni le peuple de Djibouti.
La preuve de cette affirmation réside dans le fait que le personnel
de ces ambassades ne doivent leurs affectations ni a leur compétence
ni au service qu’ils rendent à leur pays.

L’ambassadeur de Djibouti
à Washington par exemple ne doit sa position qu’au fait qu’il est le
propre cousin de Guelleh, atout tees important qui valut à ce Djiboutien
de fraîche date (1984) d’occuper cette grande ambassade. L’ambassadeur
à Paris n’a aucun lien de parente avec Guelleh mais avec son conseiller
aux affaires tribales et sectaires qui n’est autre que l’actuel Directeur
de cabinet du Président Guelleh.

Il faudrait ajouter que
l’éminence grise de Guelleh n’avait pour titre à l’époque
coloniale que celui de « maître-ouvrier du livre ».

D’autre part l’ambassadeur
à Paris est très lié au clan des corses de la Réunion
et de Djibouti. et il est du reste un maillon de la Francafrique et un outil
essentiel du Guellisme ambiant.

Les ambassades de Djibouti
sont truffées d’un personnel qui est à l’image du pouvoir de
Guelleh, voue aux cultes de Guelleh, zélés adorateurs d’un maître,
quand ils ne sont pas des malades privilégies qui squattent les hôpitaux
publics des pays occidentaux ou des monarchies du Golfe pour échapper
a la misère matérielle des hôpitaux Djiboutiens.

L’ambassadeur en poste
à Bruxelles est un ancien ministre de Gouled.

Les mauvaises langues
disent de lui qu’il déteste tous les Djiboutiens ; la raison étant
liée à ses origines douteuses. Le personnel des ambassades djiboutiennes
est parfois composé d’individus charges d’épier les moindres
mouvements de la diaspora Djiboutienne. Il ne faudrait donc pas s’étonner
que ce personnel fasse souffrir le ou les malheureux Djiboutiens tombés
dans leurs pièges.

Ils ne sont la que pour
une chose : malmener. Mais nous ne sommes pas dupes. Ces individus n’échapperont
pas aux tribunaux populaires le jour qui n’est pas si loin, ou les djiboutiens
auront décidé de reprendre leurs affaires publiques en main.