27/01/05 (B282) Chaque fois, lorsque Guelleh est mis en difficulté par la Justice, l’Ambassade de France à Djibouti doit faire face à une vague d’agression hautement organisée et dirigée par le pouvoir. L’Armée française a été priée de rester dans ses cantonnements et de ne pas intervenir.

Hier
mercredi soir, les murs extérieurs de l’Ambassade de France à Djibouti
ont été couverts d’inscription haineuse. « Ici, ce n’est pas
la Côte d’Ivoire, allez torturer ailleurs. Rentrez chez vous …. »

Nous
savons bien que la population djiboutienne, dans sa grande majorité, n’a
aucune hostilité ni envers la France ni encore moins envers les Français.
Il est curieux de constater que des évennement semblables surviennent à
chaque fois que Guelleh et sa bande sont mis en cause par la Justice française.
Personne ne pensera que ces actions sont populaires ni spontanées : elles
sont orchestrées par le Palais de l’Escale qui ne sait plus que faire face
à l’étau pénal qui resserre lentement ses pinces, mais qui
ne lâchera plus les coupables …..

L’Ambassadeur
de France a fait fermer toutes les portes et il a demandé expressément
aux forces françaises de rester dans leur camp et de ne pas en sortir,
afin d’éviter des provocations.

Quant
à Guelleh, on dit que sa conscience l’empêche de dormir et qu’il
a franchi un nouveau cap : les pilulles ne suffisant plus pour l’aider à
dormir, il est maintenant sous piqûre chaque soir, avec un taux de réussite
assez faible.

L’oeil
était dans la tombe et regardait Caïn….