27/01/05 (B282) Saluons le courage d’une femme : Mme Borrel ! Et prenons exemple sur son courage pour prendre notre destin en main et pour provoquer le changement de régime auquel la grande majorité des Djiboutiens aspirent.

Saluons
Madame Borrel, son courage et sa ténacité. Voilà une femme
qui a perdu brutalement son mari dans des circonstances particulières et
qui se bat pour que la Justice dénonce et punisse les véritables
coupables. Parmi eux, il est possible que certains dignitaires proches de Guelleh
y compris lui-même soient directement ou indirectement impliquées

Tous
les djiboutiens (à l’exception des proches de Guelleh et de ses obligés,
ayant pour la plupart des origines communes …) lui disent « bon courage ».

Sachons
qu’IOG a certainement des responsabilités dans le décès de
nombreux Djiboutiens, qu’il a réduit le pays à la misere et à
la pauvreté et qu’il a vendu le pays : le port, l’aéroport, la poste,
le chemin de fer, la douane, le tout uniquement pour en tirer un profit personnel.

Les
jeunes sont condamnés au chomage. Ils n’on plus d’espoir. La gestion du
pays est sans issue dans tous les domaines et en particulier la Santé et
l’Education.

Et nous
restons les bras croisés, laissant ce diabolique éthiopien de naissance,
détruire tranquillement notre pays, son économie et son image sur
la scène internationale.

La
rumeur affirme qu’IOG aurait eu un malaise récemment ? Le peuple ne se
gène pas pour dire que sa disparition, si elle devait survenir (ce que
personne ne souhaite directement, car on ne peut souhaiter la mort d’un être
humain, fut-il le pire des voyouns), serait certainement un grand soulagement
pour le pays qui aurait une chance de retrouver le bonheur et la libertés.

On
dit que ses proches se prépareraient déjà à l’éventualité
de sa succession :
– Djama Ali Guelleh,
– Ismael Tani,
– son fils
Liban.

Le règne
de la famille Guelleh et de ses proches aura une fin. Il est temps qu’on se soulève
et que l’on manifeste pour montrer notre détermination collective à
mettre un terme à ce régime sanguinaire et dévastateur et
de prévenir ces trois personnages, natifs d’Ethiopie :
– Ismael Omar
Guelleh,
– Hassan Madobe (SDS),
– Djama le procureur abusif,

qu’ils
seront déferrés devant un Tribunal djiboutien où ils devront
répondre de tous les crimes contre le peuple, dont ils sont responsables,
directement ou indirectement.

Si
une femme, Mme Borrel, a eu le courage à elle seule de faire bouger la
Justice et de se battre contre le silence et la mauvaise foi des Etats et de leurs
dirigeants, pour obtenir la reconnaissance du meurtre de son mari, le Peuple,
agissant dans la solidarité obtiendrait rapidement la chute du régime
et des tyrans.

C’est
maimtenant ou jamais. Luttons contre ce régime mafieux et corrompu, multiplions
les manifestations devant les Ambassades de Djibouti à Paris, à
Bruxelles, aux USA, … et surtout montrons notre détermination sans faille
dans les rues de Djibouti.

Ismaël
Guelleh ne pourra pas tenir bien longtemps, face à la détermination
d’un peuple soudé, solidaire et résolu. Your time is over M. Guelleh.

Che
Guevara
Que la lutte continue