25/03/05 (B290) Selon un lecteur, la crise économique obligerait certaines jeunes femmes de bonne famille, mais désargentées, à se reconvertir … aux caprices des riches « obligés » de Guelleh.

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Note de l’ARDHD
Nous livrons cette information provenant d’un lecteur, parce
qu’elle est susceptible d’illustrer le niveau de pauvreté qui s’installe
au sein des familles populaires et du désarroi que rencontrent les Djiboutiens,
non affiliés à la mafia locale.
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Les
proches du régime, grands amateurs de luxe et de facilité, auraient
découverts les plaisirs du massage et de la relaxation.

Le
problème, c’est qu’ils ont découverts que c’était plus confortable
d’être massé à domicile, plutôt que dans des institutions
ad hoc. Ils auraient imaginé de proposer à des jeunes femmes de
les masser à domicile.

On
imagine toutes les dérives possibles et toutes les sollicitations qu’ils
peuvent exercer pour obtenir plus …

Nous
n’en dirons pas plus, mais ce lecteur qui nous adresse des informations précises
lance une alerte sur le sujet qui reste un tabou dans les familles, mais qui illustre
le désarroi de ce peuple asservi par l’équipe de Guelleh.