05/04/05 (B292B) Alerte à la restriction du droit de manifester en France, sans raisons valables, juste pour faire plaisir au dictateur djiboutien, qui asservit son peuple et qui refuse de répondre à la Justice !!! Certains se posent la question de savoir si le Gouvernement français vote pour Guelleh !

Selon certaines informations
qui nous sont parvenues, les autorités françaises, qui avaient
pourtant donné leur accord pour la manifestation du 8 avril devant
l’Ambassade de Djibouti à Paris, soulèveraient désormais
de nombreuses difficultés.

Il est clair qu’il s’agit
d’abord d’une intervention de l’Ambassadeur de Djibouti à Paris, qui
s’en vantait hier soir devant des témoins … Mais cela fait partie
de son attribution.

Ce qui est hautement critiquable,
c’est l’attitude des autorités françaises, probablement sous
l’impulsion du Quai d’Orsay et pour plaire à Guelleh comme d’habitude,
qui se permettent de créer des difficultés, alors que le Droit
de manifester est inscrit dans la Constitution française.

Que ne feraient pas les
autorités françaises pour plaire à Guelleh, lui qui est
soupçonné par la Justice française, d’avoir une part
de responsabilité dans l’assasinat d’un Juge français. Soupçon
ne veut pas dire culpabilité prouvée, mais comme Guelleh et
ses sbires (Hassan Saïd et Djama grandes oreilles) refusent obstinément
(avec la bénédiction du Quai d’Orsay) de se présenter
devant la Justice française, la présomption d’innocence pourrait
durer éternellement, puisque l’on retire aux Juges françaises
les moyens d’instruire …

Appelons Chat, un chat
!!!

Notre association, face
aux difficultés administratives de dernière minute qui sont
opposées aux organisateurs de la manifestation du 8 avril, a décidé
de relayer l’appel à toute la presse, aux Associations et aux institutions
internationales pour menace contre le Droit de manifester.

Rappelons fermement que les
Djiboutiens, opposants à Guelleh, qui manifestent depuis treize années à Paris, à Bruxelles et au Canada,
n’ont jamais troublé l’ordre public ni commis la moindre dégradation. Ils ont toujours respecté scrupuleusement
les directives données par la Police parisienne.

Si l’interdiction de manifester était prononcée, la situation deviendrait difficile et la France perdrait encore un peu la confiance du Peuple djiboutien qui endure l’asservissement et la pauvreté !!!