14/08/05 (B311) Tentative « d’intoxication » : les services de communication de la dictature et en particulier ceux de Yacin Elmi Bouh, manifestement embarassés par nos publications, montent au créneau pour tenter de nous désinformer. A prendre avec des pincettes et à lire en se bouchant le nez !

_______________________ Note de l’ARDHD
Curieux, non ? Dès que l’on fait état des turpitudes internationallement connues et des prévarications commises par Yacin Elmi Bouh et la famille usurpatrice, nous recevons aussitôt des messages que nous appelons « Contre-feux ». Notre comité de rédaction conserve la liberté la plus entière de sélectionner les articles qu’il souhaite publier et de refuser les autres ….

Si nous avons choisi de publier celui-ci, c’est uniquement parce qu’il est représentatif de la maladresse de la communication d’arrière-garde et pour donner un exemple de la langue de bois des services proches des prévaricateurs du Peuple.

Certes la fausse courtoisie et même la flagornerie sont présentes dans ce texte, pour tenter de nous intoxiquer. Intentionnellement, nous avons laissé toutes les fôtes d’aurtograffe du texte original (*0) : il n’en est que plus démonstratif de l’inculture qui sévit dans les milieux proches de la dictature.

En résumé, comme le disait un grand humouriste du siècle précédent : « Il n’y a pas de plus grand plaisir que d’être pris pour un con par un imbécile ! »

Yacin Elmi Bouh, ancien Ministre des Finances, dont la gestion aurait été, dit-on, fortement contestée par les instances financières internationales : FMI, en particulier, a été nommé à l’Intérieur dans le nouveau Gouvernement. Membre éminent de l’Ordre des Brosses à Reluire, il aurait contribué efficacement à l’appauvrissement de l’Etat en signant des contrats d’externalisation avec Dubaï, sans appel d’offre et en toute opacité : Ah le brave homme !

Le résultat final sera quand même de nous convaincre définitivement que le lecteur qui nous a adressé la contribution « Radio Trottoir » ne doit pas s’être beaucoup trompé, sinon la réaction aurait été plus convaincante, mieux documentée et plus argumentée. Yacin Elmi Bouh, membre cumulard de l’Ordre des Brosses à Reluire et de l’Homme de la semaine, pourrait rester dans l’histoire, « l’un des plus actifs prédateurs » du Trésor et des finances publiques de la République. Enfin, inutile à l’avenir de nous adresser de tels monuments de désinformation, car nous les ignorerons purement et simplement ! La Nation et l’ADI se feront un plaisir de les accepter !

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Je suis un lecteur assidu de votre site depuis 1992 (*1), très jeune à l’époque, une époque où l’opinion contraire, et le critique constructif de la chose publique étaient vus comme l’ennemi numéro 1 du pays, moi et mes amis ont apprécié les débats que vous aviez déclenchés sur des sujets différents que variés (*1).

Nous avions passé des nuits blanches et on en a appris beaucoup sur la démocratie, ses valeurs et ses principes. Conscient du travail que vous avez réalisé, je vous en remercie et je vous félicite, mais étant cette génération qui vous en suivi, j’ai appris aussi à évoluer notamment à accepter les critiques aussi, et j’espère que vous feriez de même.

La rumeur a aussi ses règles, elle est d’abord du domaine du privé, de la bouche vers une oreille attentive, mais lorsqu’elle est affichée sur la place publique elle devient une affirmation et qui implique de la responsabilité de l’annonceur.

Pour les défenseurs de la démocratie et des droits de l’homme, la démocratie n’est pas quelque chose qui est placée sur le bout de son nez, mais, comme vous le saviez, c’est une façon de vivre qui a sa grandeur et il faut être de taille pour défendre ses principes qui ne sont que des symboles énoncés, compris, assimilés, éprouvés et répertoriés universellement. Qui est le fruit du travail intellectuel des hommes comme toi et moi dans des époques différents de l’histoire de l’humanité, et qui est toujours l’objet de l’amélioration, surtout, les conditions de vie de l’homme par rapport à son environnement. (*2)

vous convenez avec moi qu’il faut parfois accepter certaines réalités positives de ton adversaire sans pour autant perdre ton idéal de la démocratie pour mieux certifier et renforcer ses propres convictions.

Lorsque le pays même est en total confusion, on a besoin des médias comme la vôtre pour pousser la réflexion et l’analyse des faits sur l’actualité de ce pays, mais il me semble d’après les informations que je lues récemment dans votre site concernant Yacin Elmi Bouh, son épouse et Elmi l’ex sous-directeur de la douane djiboutienne, je pensais à un moment que soit votre radio est tombé du trottoir, soit vous avez choisi la voie tristement célèbre initiée par la radio des mille collines au Rwanda, ou soit vous vous tromper complètement sur les djiboutiennes et les djiboutiens d’aujourd’hui, et si c’est le cas il vous faudra remettre la pendule à l’heure, parce que le djiboutien de 1992 n’a rien à voir du djiboutien d’aujourd’hui. (*3)

Vous avez autrefois vu juste et bien analyser les informations mais aujourd’hui, j’ai l’impression qu’il y a un décalage entre ce que vous écrivez et la réalité au pays. D’ailleurs, vous avez accusé, jugé, et condamné sans possibilité d’appels à Mr Elmi, pourtant la présomption d’innocence est un principe fondamental de la justice.

La rumeur n’a duré que la première semaine, il l’on passé douanier au braconnier, des cartons de billets d’argent jusqu’au lingots d’or, mais si le RPP en réalité avait en sa possession des preuves sûres et convaincantes, Elmi serait jugé et condamné en deux jours seulement, n’est-ce pas ?

D’après les informations que nous avons, on a fouillé chez lui et ils n’ont rien trouvé… Dans son compte, il y avait 3 millions et dans le compte de son épouse il n’y avait que 6 millions.

Depuis la création de la Douane du Port de Djibouti et tous les djiboutiens qui ont occupés ces postes peuvent en dire long, on leur demandait toujours d’atteindre le quota fixé par la politique. Mais jamais un contrôle feuille par feuille n’a été effectué jusqu’à là et je dirais bonne chance à la prochaine victime, déjà la ils refusent de signer quoique ce soit.

Cela restera toujours comme ça, c’est le maillon faible de tout les États du monde. Ailleurs dans le monde, les agents de la douane ont des garantis et des protections juridiques spéciales contre justement ce genre pouvoir qui fait appel parfois au jugement d’imposer ou de ne pas imposer, d’augmenter ou baisser la taxe selon les cas, tout en évitant de détruire l’économie et l’image de son pays. L’histoire nous en dira plus. Et je vais appelle à l’ensemble des djiboutiennes et djiboutiens sur la question et de ne pas tomber le piège entre opération main propre et règlement des comptes surtout à Djibouti ou les informations ne sont pas officielles. Pourquoi, nous n’avions pas eu droit un mise au point quotidien de l’affaire Elmi, c’est ne pas quand même un voyou qu’on l’a ramassé dans la rue???, il a été représentant de l’État pour la négociation de Djibouti-Dubai pour la gestion de la douane djiboutien. (*4)

Lorsque un pays travers une épreuve difficile, l’existence même est en jeux, il faut parfois oublier les idées partisanes et chercher le mieux de nous même pour prendre des décisions difficiles pour sauver ce pays, il me semble que nous chérissons du chaos.

Donc, être nommé Ministre de finance dans un pays de tiers monde en faille est loin d’avoir un cadeau du saint valentin, c’est tout simplement aller à l’abattoir, puisque en cas échec, tu es l’unique et le seul coupable jusqu’à la fin de tes jours (Oh le grand homme ! ARDHD). Puisque il s’agit un sacrifice qui n’épargne personne partout au monde c’est cette même logique qui s’applique. Tu deviens tout un coup la cible de prédilection de toute la faune et les anarchistes, même les véritables patriotes adoptent un silence de réserve.

Pire encore, si la reforme échoue l’état de santé du ministre looser ne s’en sort pas intact. Alors, il faut non seulement définir ces conditions de travail côté professionnalisme, mais aussi de la personnalité, de la volonté, du courage, de la détermination, et de l’abnégation. Et ça, mes chers amis, sur une population de environ 700 000 hs, 3000 fonctionnaires, sans parler du taux de chômage, je vais dire par là qui n’ont rien et n’ont rien à perdre, dans cette angle je fais appel à l’intelligence des djiboutiens (nes).

Ce que je sais à date, que tu veilles ou pas, je ne le connaît pas du tout et je m’en moque mais j’aime mon pays, mais une chose est indiscutable, il est venu au Ministère du finance semi comatique (le pauvre ! (ARDHD), tous ceux qui fréquentaient avant et après le disent, il a défendu et redressé le finance publique (le salaire : 25 eme du mois), et a laissé une l’administration qui fonctionne au moins, qu’il faut encore l’amélioré.

La roue économique a fait une révolution et a pris sa vitesse de croisière. D’après, les informations en ma possession, depuis maintenant 18 mois il est difficile de trouve un local commercial vide au centre ville, Bien sûr l’apport annule l’amérique et de la France a donné un coup de pouce à l’économie mais la confiance c’est l’affaire du ministre de finance ici ou ailleurs.

Alors, mes chers amis démocrates, défendeurs des droits de l’homme, féliciter et critiquer sont deux valeurs fondamentales et non contradictoires de la démocratie n’est pas?

Pour son épouse:

C’est une mère des enfants comme toutes autres mères djiboutiennes, ce qui est drôle dans cette affaire, elle n’a jamais occupé un pose aussi important à Djibouti, elle n’a pas le moyen, ni pouvoir de tourner au drame la vie de tout le jour des djiboutiens (nes)

Après une petite enquête : le 900 000 PAR MOINS = FAUX.

Ensuite, beaucoup de monde se sont étonnés que vous aviez pu attaqué sciemment, pour ne dire opérer un lynchage public, quelqu’un où il y a au moins un consensus générale sur sa personne et sa famille, née à Q6, elle est n’est pas sorti du néant (ERREUR SUR LA PERSONNE), vous devriez s’excuser et il parait que c’est ne pas la première fois que vous l’attaquiez parmi toutes les femmes de Djibouti pourtant il n’en existence des tons maudites. On l’a qualifie ample, simple, réservé, conservatrice. Aujourd’hui, à Djibouti, tout le monde se demande le fond de l’affaire, il n’y a pas d’autres explications, à moins que le seul crime qu’elle a commis, c’est le fait qu’elle soit ISSA!!!! (*5)

*0 : fautes d’orthographe : notre site en contient beaucoup, beaucoup trop parce que nos moyens sont très limités et que nous ne puisons pas dans le Trésor public. Nous en sommes très conscients et nous essayons quand même de corriger au maximum les textes qui nous parviennent .. Ce lecteur, délégué par le régime, agissant sur ordre, bat tous les records dans le domaine !

*1 : le baratineur maladroit ! Si l’Association existe bien depuis 1992, le site n’a été mis en ligne qu’en 1999 (7ème année). Ce lecteur aurait donc eu la prescience extraordinaire pour le lire et en débattre avec ses amis, neuf ans avant qu’il ne commence à exister et qu’Internet, même, n’arrive réellement dans les foyers ! Une telle incohérence ne dérangera personne au royaume du mensonge…

*2 : un peu de pédagogie de super-marché, est censé ne pas faire de mal !

*3 : maintenant les critiques et les reproches. En plus, les services s’adressent à l’ARDHD qu’ils tutoient, n’ayant manifestement pas encore compris que l’intervention de notre site se limite à publier et à diffuser les contributions des lecteurs, lorsque le mot « lecteur » figure dans le titre ….

*4 : parlons un peu plus de cette négociation qui s’est déroulée en dehors de toutes les règles : pas d’appel d’offre, pas de mise en concurrence ! Il n’y a pas de quoi en être fier ! (Chiche, on met l’affaire sur le tapis ?).

Chacun a bien compris dans cette affaire que l’Etat djiboutien renonçait purement et simplement au profit d’une société privée étrangère, à la maîtrise de la perception de l’impôt qui assure la majorité de ses recettes fiscales. C’est son droit régalien qu’il a « vendu » à l’étranger. Et qui a touché la contre-partie ? Guelleh, Yacin Elmi Bouh, … (probablement tous car l’affaire est monstrueusement « juteuse ») ?

*5 : et pour finir un petit couplet sur le tribalisme, qui a toujours été l’arme du pouvoir de Guelleh et de son équipe. Le message est donc signé !