01/11/06 (B367) Correctif. Mohamed Alhoumekani, qui a lu notre article sur l’affaire Borrel, publié par Bulletin d’Afrique, souhaite apporter une précision.

Je vous
remercie pour l’article qui a été rédigé par Mme
de Vaivre. Je tiens seulement à préciser que j’ai fait l’objet
d’un mandat d’arrêt, délivré par les autorités
djiboutiennes, mais que l’origine de ce mandat, n’est pas le procès
qui m’a été intenté à Djibouti, pour diffusion
de fausses nouvelles, mais que son origine est plus ancienne puisqu’elle remonte
à un jugement de 1996. Bien que n’ayant pas obtenu satisfaction de
ses revendications mon adversaire n’avait pas jugé souhaitable d’interjeter
appel dans le délai légal d’un mois après jugement. Pour
moi cette affaire est terminée.

L’ouverture
d’une procédure d’appel, huit ans après, ne peut être
motivée que par la volonté de me harceler et elle est illégale
de toutes les façons.

Je vous
envoie juste cette précision pour qu’il n’y ait pas de mauvaise compréhension
de la part de vos lecteurs.

Un grand
merci pour tout ce que vous faites.