17/02/08 (B435) Radio-Trottoir / Puce à l’oreille d’un procès fulgurant sans voie intermédiaire et sans trille. (Lecteur)

Faut-il s’attendre à des voies de fait d’Aref contre le Barreau ?

« L’Enfer demeure aux aguets,
Refuge pour les transgresseurs »
LE SAINT CORAN
VERSETS 21 ET 22 DE LA SOURATE 78.

C’est dans l’esprit de combattre les turpitudes souvent en cache des spécialistes des basses manipulations digne d’Aref, que cher ARDHD et à
travers vous, tous vos lecteurs, que cette puce à l’oreille s’impose avant
lundi 18 février 2008, jour d’un procès judiciaire qui fera la une et la
première à Djibouti, juste dix jours après des élections législatives
désertées.

Mais attention : il ne s’agit nullement du vieux Aref, qui a été traîné dans
la boue par son ex-indicateur.

Comme vous l’avez appris, le Journal de propagande de (haut niveau gratuit)  «Jeune Afrique », un certain IOG avait gratuitement écrasé Ali Aref en
l’affichant sur Foccart.

Seuls des proches ou des sous fifres auraient pu se permettre de telles
allégations décevantes, avec peut-être la bénédiction du Président Chirac,
son ancien ami, probablement plus après les indélicatesses insupportables.

Le Club des présidents permet-il de tels propos ?

En fait Ali Aref, membre financièrement puissant du Comité Central du RPP, n’a pas du tout été épargné par ces indélicatesses coupables et mal venues de l’ancien gardien de chameaux en Ethiopie.

Reste à savoir si IOG continue de patauger dans « La Piscine », pourquoi pas, d’ailleurs, cela lui ressemble tellement ?

Revenons à notre mouton. Il s’agit de Maître Aref Mohamed Aref et non de son oncle dont la page sur ses antécédents a été tournée juste après notre Indépendance par
feu Hassan Gouled et par notre regretté Ahmed Dini.

Unique mais vrai, Maître Aref, après sa défaite cuisante, oh pardon, par son recul de dernière minute, va, – demain – sous réserve d’un autre recul «stratégique » plaider à cor et à cri contre le Barreau qui l’a acculé à retirer sa candidature in extremis car elle était indigne, d’abord vis à vis de lui-même

Cher ARDHD, vous qui l’avez si formidablement défendu, lorsqu’il était
enfariné et jeté dans une cellule 13 de Gabode, vous devez affrêter sans perdre une minute un
avion spécial pour voler à son secours. Le Pauvre Aref est tristement seul et
apparemment il n’aura aucun avocat pour le soutenir face au Barreau de la République de Djibouti. (sic et re sic !!!)

C’est vrai que la vie présente l’a trompé, mais cette fois va-t-il témoigner
contre lui-même, ? (A qui la faute d’ailleurs, à jouer avec le feu, à faire double-jeu, on finit toujours par se brûler gravement … mais cette fois, il risque d’y laisser ses dernière plumes … non pardon, ses derniers cheveux !)

Dans tous les cas, son dernier ami Djama s’attend à tout de sa part, à tout entendre, sauf les prières du père Sandro, qui est maintenu illégalement derrière les barreaux et dont l’emprisonnement devient une affaire nationale en Italie.

D’ailleurs, aucun transgresseur ne mérite prière.

Affaire à suivre. Surtout, n’oubliez pas de nous informer heure par heure des détails de votre vol pour voler à son secours, afin que je puisse informer le Premier Magistrat de votre arrivée.

Mais j’oubliais deux légers problèmes qui devront être résolus:

– après avoir été défendu bec et ongles par l’ARDHD à deux reprises (91-92 et 99 – Aref a reconnu officiellement dans un tribunal français, qu’il devait probablement la vie au Président de l’ARDHD),
cela ne l’avait pas empêché de plaider avec mauvaise foi et hargne contre le Président de l’ARDHD pour tenter de défendre l’honneur tristement dégradé du Chef Zakaria ? (Double jeu encore une fois)
– vous rencontrerez peut-être quelques légères difficultés pour obtenir un visa de séjour … Prévenez-moi, j’arrangerai les choses sur place ….

Un profondément croyant
mais non pratiquant