23/02/08 (B436) Lorsque des lions tue un âne, aussitôt les hyènes sentent l’odeur du sang et elles se précipitent … (Humour – lecteur)

Lorsque des lions tuent un âne, aussitôt les hyènes sentent l’odeur du sang et elles se précipitent sur les lieux, mais les lions sont toujours là.

Elles appellent leurs amies hyènes en renfort pour tenter de chasser les lions.

Des centaines d’hyènes arrivent pour harceler les lions qui sont bien repus. A la fin elles chassent les lions et elles mangent leurs restes.

Ensuite, les autres prédateurs tels les renards viennent pour finir les moreceaus de viande qui sont tombés par terre pendant que les hyènes se battent pour les meilleurs morceaux restant…

Maintenant qu’Ismail Omar Guelleh est gravement touché par l’affaire Bernad Borrel et qu’il est poursuivi par des juges indépendants et sans état d’âme, les journalistes de Jeune Afrique ont reniflé l’odeur du Franc Djibouti dans les poches d’IOG. De son côté, ce dernier a besoin de l’aide des hyènes … pour pouvoir terminer son repas, sans être dérangé par les prédateurs de seconde catégorie.

Car il y a des renards qui visent le trésor de Guelleh. Comme MM. Chris Lafaille et Olivier Stirn, ils aimeraient bien être présents lors de la distribution pour prendre leur part de gâteau.

Qu’ont-ils à faire ?
Presque rien, si ce n’est de d éfendre IOG dans l’affaire de Borrel ou louer son régime démocratique et l’organisation impeccable des dernières élections.

Les prédateurs sont encore nombreux. Ils sont à l’affut pour dévaliser les maigres ressources du pays qui seront encore monayables après la fuite d’ IOG qui demandera l’asile politique en Afrique de Sud ou en Israel pour échapper à la justice du peuple qu’il a asservi.