25/11/08 (B475) Radio-Trottoir Feux d’artifices aux Emirats ; Feux de flammes à l’Hôtel de la Cour des Comptes. A qui profite les crimes d’incendie « volontairement » accidentels ?

Ce n’est pas possible ! Depuis quelques années, tous les bâtiments Publics qui regorgeaient de documents financiers « top secret » sont partis successivement en fumée les uns après les autres, à intervalle périodique préélectoral ou plutôt dès que de hautes personnalités de l’Etat se sentent judiciairement menacés.

1 – Le cas du Trésor National avec l’embrasement de tous les dossiers de recouvrement des impôts et des autres taxes fiscales est un exemple dans le passé. Ces dossiers importants contenaient probablement des éléments trop compromettants. Les responsables n’avaient-ils donc plus d’autre choix que de les faire disparaître en commanditant un incendie criminel en pleine nuit. Ce cas de l’incendie du Trésor restera gravé pour toujours dans la mémoire des Djiboutiens(nes).

2 – Plus récemment lors d’une manifestation des employés du Port, l’incendie criminel des services des Contributions Portuaires, dont certaines archives remontaient aux années 1950, a toujours le même motif : faire disparaître définitivement les dossiers importants qui représentent un risque pour des personnages haut placés. L’incendie criminel s’était déclaré en pleine matinée.

3 – Ce matin du 23 novembre 2008, vers 2 heures 15, un nouvel incendie a été signalé. Mais l’alerte n’a été donnée qu’aux alentours de 2 h 30 / 45 (les versions officielles diffèrent sensiblement sur ce point). A première analyse, cet incendie est certainement criminel lui aussi. Certains anciens pompiers avancent même la possibilité d’un départ de feu qui aurait été déclenché après une large aspersion des dossiers et des ordinateurs avec de l’essence. Les flammes étaient tellement intenses qu’il ne peut s’agir d’un départ spontané.

Les pompiers de l’armée Française n’ont eu les honneurs que d’une participation limitée. Il fallait surtout éviter qu’ils ne puissent avoir accès à des documents Top secret et qu’ils ne tentent de les protéger. Imaginez qu’un pompier français ait pu acquérir des informations qu’il aurait pu envoyer au Canard Enchaîné : par exemple des documents sur le blanchiment d’argent par la Mafia qui règne au sommet de l’Etat Djibouti.

Certains faits sont de la notoriété d’un groupe restreint et parfois aux résonances semi publiques comme :

1. Fin octobre 2008, le Chef de l’Etat avait dit au Ministre de la Justice de demander discrètement au Président de la Cour Suprême de mener une Enquête sur la Banque Centrale qui gère pas mal d’argent et souvent couvre les trafics de faux dollars et « apurer » »par purification et par blanchiment d’argent l’argent de la mafia des islamistes depuis quelques temps bien installés à Djibouti grâce à Ismaël Tani et les trois Djama.

On ne sait jamais avec les caprices de Khadra et les énormes enrichissements simultanés de la Première Dame et de son frère le Gouverneur de la Banque Centrale M. Djama Haïd…Il faut donc des éléments dissuasifs en main :

2. Le Colonel Directeur de la Police devrait être entendu discrètement par les Juges de la Cour des Comptes.

Alors à qui profite la mise à feu des 320 documents judiciaires top Secret de la Cour des Comptes.

Il faut vite remarquer et souligner qu’aucune récupération des disques durs n’a été effectuée jusqu’à 15 heures cet après-midi. A bon entendeur Salut.

Un ancien pompier
de l’Ecole coloniale.