05/12/08 (B477) Radio-Trottoir / Un conte angoissant. Et si la fiction devenait réalité dans quelque temps … (Infos lecteur)

Un conte d’horreur. (*)

Imaginez qu’Afwerki, le dictateur érythréen, vienne de quitter Dubaï vers 10:30 h, ce samedi matin avec des valises bourrées d’argent, qu’il aurait retiré de ses comptes dans les émirats et auquel se serait ajouté presque spontanément des aides et subventions offertes par certains de ces émirats (Qatar par exemple).

Continuez d’imaginer : pendant une semaine passée dans les émirats Afwerki
aurait pu s’assurer de soutiens et même obtenir des accords pour la réalisation d’un grand projet dont nous allons vous parler.

Imaginez que dans le même temps, toutes les archives, tous les documents et toutes les réserves d’or de l’Ethiopie aient été déplacé dans un lieu sur. Nafka par exemple serait l’endroit idéal.

C’est une zone montagneuse dans laquelle on aurait pu creuser depuis une vingtaine d’années des souterrains et réaliser des installations de survie pouvant résister à une guerre. (Style Saddam Hussein). Dernier effort d’imagination : si l’Erythrée avait aussi transféré à Nafka, tout le haut commandement militaire et les moyens de communication les plus sophistiqués.

Une conclusion s’imposerait : ce ne pourrait qu’être le signe que l’l’Erythrée se préparerait à attaquer l’Ethiopie, avant le retrait de ses troupes de Somalie.

Et par où commencer ? Par la région « pilote » de Ras Doumeira en remontant vers Addis Abeba où il se heurtera aux forces éthiopiennes massées sur la route Asmara – Addis Abeba.

Scoop ou un conte de mauvais goût ? A vous de choisir !

Bien entendu, vous n’êtes pas obligés de croire toutes « les stupidités » de l’ARDHD ni les « délires » de son équipe, mais parfois, ils ont de bonnes informations qui se sont souvent révélées être exactes.

De toutes les façons l’avenir est l’arbitre. C’est lui qui dira si nous avions raison d’imaginer ce scénario assez catastrophique pour la Corne de l’Afrique et probablement pour Djibouti.

(*) A ne pas montrer ni aux âmes sensibles ni aux enfants.