03/05/09 (B497) FreeDjibouti -> Il faut sauver Djibouti et c’est maintenant !

La pagaille à la tète de l’État qui a prit l’allure de vendetta a atteint un point qui doit réveiller les Djiboutiens pour sauver leur pays. S’il n’y a rien qui choque à Djibouti, les récents événements doivent être pris comme étant la sonnette d’alarme de la désintégration de la famille présidentielle et de Djibouti en temps qu’État et Nation.

À cause de la pagaille, le ridicule et la comédie qui se jouent au sommet de l’État par le recyclage de la même racaille, les citoyens n’ont plus accès aux logements décents, ne peuvent plus se loger, se soigner, s’éduquer, se vêtir, s’alimenter, se divertir, jouir de plus de liberté, de démocratie et vivre en sécurité.

Après plus de 31 de régime autocratique, sanguinaire et prédateur, la situation à Djibouti ne fait que s’empirer et c’est dans un ensemble de catastrophe que vivent les Djiboutiens.

Les institutions en place ne sont plus utilisées que pour empêcher le développement du peuple de Djibouti et l’émergence d’un État de droit.

Les Djiboutiens sont témoins d’une catastrophe politique, d’une catastrophe économique, de catastrophe écologique, catastrophe culturelle et historique.

Ils assistent à un échec global, un échec d’un ensemble de plus de huit cent milles âmes qui sont incapables de bâtir un pays où il fait bon vivre, mais aussi une nation de droit et de liberté. Les Djiboutiens ont tendance, malgré les signes prémonitoires du danger, à oublier que le pire n’est jamais derrière mais bien devant.

Aujourd’hui, les Djiboutiens s’immobilisent et s’observent. Quand ils se battent, ils se battent pour quelque chose qui n’existe plus ou est appeler à disparaître, très bientôt : Djibouti en tant que nation sous Guelleh.

Après plus de 31 ans de mensonges de la part de Guelleh et de son prédécesseur, la situation s’est détériorée au point de non retour.

Et face à cette situation, il devient plus qu’important de lancer un appel pour que Djibouti soit sauvé.

Le constat est là aujourd’hui : rien ne va au pays et c’est la pagaille au sommet de l’État avec un gouvernement « de pacotille » au service d’un chef d’État devenu lui une « coquille » de soi-même pris en otage par les besoins d’orgasme dicté par son épouse et les mafias.

Le dénuement ne cesse de s’accroître, la fatalité ne cesse de gagner du terrain, l’insécurité est devenue l’air à respirer, la peur quotidienne provoque des maladies psychosomatiques.

Le bilan des 31 années du régime RPP est plus que catastrophique.

Trahi par les opposants d’hier, l’ardeur de combat pour le changement jadis affiché au lendemain des referendums de 1992 et de 1999, s’est relâchée, et par fatalité le peuple a accepté un destin médiocre.

Le constat est clair : le présent n’a pas d’avenir à Djibouti.

Et face à ce danger réel, il devient important de mobiliser tous les moyens humains, moraux, spirituels, financiers, militaires pour éviter que Djibouti ne disparaisse et n’implose.

A Djibouti, c’est le passé qui gouverne le présent.

Cette politique de pillage, dont Guelleh détient le « Prix Nobel » est un jeu dangereux pour la paix sociale et la stabilité du pays et un auto-piège pour le gouvernement qui s’enferme dans le mensonge et la démagogie et pour le peuple de Djibouti et les partenaires économiques qui se font rouler dans la farine.

Le peuple de Djibouti doit refuser cette médiocrité dans laquelle on l’a fait tourner depuis plus de 31 années.

Il faut une nouvelle génération de leaders à Djibouti. Toute cette horde de « politiciens » doit disparaître car même si en public ces « politiciens » djiboutiens se haïssent, mais en coulisse ils boivent tous autour de la même tasse. Ils sont tous la cause du malheur qui ronge les Djiboutiens et ont rendu le pays en un « État-Néant ». Depuis prés de 31 ans, les Djiboutiens assistent au recyclage des ces mêmes ordures.

Tous les problèmes qui agacent les Djiboutiens ne sont en réalité que la matérialisation des actes d’initiés et d’adeptes. Les discours politiques de Guelleh et ses laquais se sont révélés démagogiques et hypocrites, et ne relève que de la culture et du culte de l’égocentrisme. Un égocentrisme pathologique.

Djibouti est gagné par le mal de vivre et le mal-vivre.

Sa jeunesse ne voit aucune perspective devant elle à part le chômage. Elle ne dispose même pas d’échappatoires où elle irait se réfugier pour combattre son oisiveté si ce n’est que sombré dans la débauche, la délinquance et la dissolution.

Aujourd’hui, que peut attendre la Jeunesse Djiboutienne dont l’horizon est bouché par le chômage ?

Qui ne forme pas sa jeunesse creuse sa tombe !

Aujourd’hui, la grande majorité de cette jeunesse désœuvrée et abandonnée à elle même, se bat pour quitter cette prison à ciel ouvert (Djibouti) où elle étouffe par manque d’espérance. Quitter le pays, se « barrer », aller vivre son humiliation loin des siens, à l’abri des yeux inquisiteurs qui vous rendent responsables de cet « échec ».

À défaut de préparer la relève de cette génération périmée des « politicards » et « Politiciens » qui a dirigé et dirige le pays, elle risque de conduire Djibouti droit dans l’abîme.

Après tant d’années de dictature et de gâchis, il faut dire un « NON » catégorique, il faut refuser la situation dans laquelle on fait évoluer, les Djiboutiens.

Hier c’était Gouled qui a menti pendant 22 ans et étranglé le peuple, aujourd’hui c’est le criminel Guelleh qui n’a fait que raffiné le système d’obscurantiste de son prédécesseur.

Demain, l’histoire risque à nouveau de bégayer, à moins que des hommes et des femmes se lèvent pour barrer la route à ces voleurs sur le dos du peuple de Djibouti.

Et il est temps, et grand temps où il est prouvé par A+B que Guelleh est mentalement incompétent et incohérent, et mortellement grabataire que l’armée patriote, la société civile, les intellectuels qui encore l’amour du pays, les hommes de mosquées, les opérateurs économiques, la jeunesse se lèvent pour peser de tout leurs poids en disant NON au bégaiement de l’histoire pour sauver Djibouti.

C’est maintenant qu’il faut donner un sens à son devoir de patriotisme.


Il faut sortir les Djiboutiens de cette clinique psychiatrique (Djibouti) aux illusions perdues, où se traitent les grands projets délirants, déséquilibrés et déconnectés de la réalité des Djiboutiens. Au fil des années, jadis Guelleh, celui qui avait promis en 1999, du « lait » et du « miel », aux Djiboutiens s’est avéré être un homme dont la lâcheté et la mauvaise foi se sont intensifiées couplées avec une démagogie mensongère. L’histoire semble se répéter avec l’or de Dikhil. Celui qui avait solennellement garanti qu’il venait au pouvoir pour balayer la maison et extirper le mal, n’a fait que le propager par le biais de ses délires, ses incohérences et sa couardise.

L’enfer du quotidien des Djiboutiens n’a qu’un unique remède : le départ de Guelleh et sa racaille d’incompétents, de criminels. Toute autre machination ne relèvera que de la pure comédie, comédie qui est devenue mortelle.

Il n’y a que le sursaut démocratique du peuple de Djibouti qui décidera de renvoyer le paranoïaque IOG.

Aux Djiboutiens de méditer cette réflexion de feu Thomas Sankara : « … l’esclave qui n’est pas capable d’assumer sa révolte ne mérite pas que l’on s’apitoie sur son sort. Cet esclave répondra seul de son malheur s’il se fait des illusions sur la condescendance suspecte d’un maître qui prétend l’affranchir. Seule la lutte libère… ».

« Scandale géologique », Djibouti doit d’abord compter sur ses fils et filles avant de comptes sur ses propres ressources car le capital humain est le plus inestimable et le plus précieux. La politique de la main tendue n’est pas porteuse de bonheur et de dignité.

La situation actuelle à Djibouti est complexe et ne concerne pas un seul groupe pour relever le défit, le concours de tous les Djiboutiens patriotes est de grande importance. Nous lançons un appel pathétique à tous les combattants de liberté de ne pas se laisser distraire par ces magouilles post-électorales. Cette pagaille au sommet de l’État n’est que le reflet de plus de 30 ans d’histoire des crimes imprescriptibles et indescriptibles de la dictature à Djibouti.

« La décente aux enfers de Djibouti est intolérable et ne peut que se poursuivre. Les Djiboutiens patriotes ont tous intérêt à résoudre cette crise et prévenir la catastrophe ».

L’espace politique à Djibouti est très malade. L’illusion d’optique serait de croire béatement qu’avec du vieux, l’on peut fabriquer du neuf ou qu’avec l’eau d’égout l’on peut sans traitement radical fabriquer de l’eau pure et potable.

Le Djibouti de demain doit être réinventée en tirant toutes les conséquences de tous les avatars qui minent son développement et qui obscurcissent son avenir.

Debout Peuple de Djibouti, la victoire est inéluctable et proche !

Comprendront ceux qui comprennent.

FreeDjibouti

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