13/08/09 (B511)  Le rapport Deberkalleh (suite – 6 -)


Le dossier complet

Plainte déposée devant le Procureur éthiopie pour l’assassinat des vieillards et d’enfants Afar à Guerrissa et dans les localités voisines (lien avec l’article – 2005)

TRAITS ESSENTIELS

DE LA PERSONNALITE

du Président ISMAEL OMAR GUELLEH
(suite)

 

II s’ agirait plutôt d’une personne pleinement informée sur les méthodes de manipulation, de falsification de faits ou de création de phénomènes artificiels et de désinformation des masses ou des medias journalistiques du pays ou de l’étranger exemple : l’ADI, La NATION, LA RTD, LA BBC ( section somalienne qui le protège politiquement ), JEUNE AFRIQUE L’IDIOT ou autres…, il les utilise a bon escient ou par complicité passive sur les individus et observateurs qu’il veut convaincre de cela.

Dans le même ordre d’idée, il ne perd jamais de vue l’importance de l’action et de la préparation psychologiques sur la personne ou la communauté sur laquelle il a prévu d’agir ultérieurement, d’une manière officielle ou non. C’est en fait sur ce dernier plan que son intelligence est assez terrible et efficace car cela démontre, de sa part, un vrai travail secret en amont par la transmission et la propagation préalable d’informations orientées et l’activation d’agents d’influence déjà prépositionnels a cet effet ainsi que la mise en place ou la mise en activité de structures financières a titre de soutien.

L’importance et l’exclusivité qu’I.O.G. attribue a l’utilisation de ces genres de méthodes dans sa gestion gouvernementale du pays, nous permet de constater qu’une autre de ses priorités consiste à vouloir pouvoir contrôler, coute que coute, tout individu ou tout groupe d’individus, d’une façon ou d’une autre.

A Djibouti, cet aspect de sa personnalité s’applique plus particulièrement aux gens qui réussissent dans la vie sans rien lui devoir (qu’il ne contrôle donc pas). C’est pour cela, qu’étant convaincu, qu’argent égal puissance, il s’attaque, entre autre, aux gens qui ont de l’argent surtout lorsque ceux-ci se sont le plus légalement enrichis. Estimant qu’ils sont dangereux pour lui (susceptible de financer ses opposants), puisqu’il n’a aucune prise sur eux, il les ruine, pur et simplement, en les détruisant, par ses agents de la S.D.S. interposes, dans des affaires commerciales douteuses ou par des impositions fiscales considérables de l’administration des finances.

Et dans le cas ou cela ne donnait aucun résultat, il monte de toute pièce une opération de sécurité nationale fictive pour arriver a un contrôle absolu sur ces personnes.

Dans le même ordre d’idée, étant suspicieux a l’extrême et craintif a un dégrée qui tient plus de la paranoïa que de la simple prudence, il veille scrupuleusement a mouiller et a corrompre le maximum de gens surtout ces proches collaborateurs immédiats qui doivent impérativement partager et s’associer a sa gestion inique et mafieuse du pays.

Ayant ainsi engage leurs moralités et leurs responsabilités personnelles face a la nation et face a tout ce qui pourrait advenir dans le futur, il estime non seulement avoir ainsi assure ses arrières mais aussi pouvoir continuer à exercer son contrôle sur eux.

II faut savoir qu’a Djibouti que toutes les personnes, qui ont refuse de se laisser corrompre et qui ont fait passer l’intérêt général de l’état et de la nation devant l’intérêt particulier, ont pratiquement toutes été éliminé d’une façon ou d’une autre.

En effet ces gens l’étant considérés comme la négation de l’ordre mafieux en vigueur a Djibouti, il faut qu’ils dégagent d’une manière ou d’une autre. C’est ainsi que les pressions, exerces sur eux sont telles, qu’ils sombrent dans la folie a force de khater ou de boire de l’alcool…, soit se retrouvent dans la misère la plus extrême, soit s’expatrient a l’étranger l’Europe, le Canada ou les U.S.A. … ou sont éliminés physiquement surtout s’ils sont considérés comme dangereux par I.O.G. (suicide, accident, empoisonnement).

Pour finir avec ce domaine qui a trait a la manipulation et a l’intimidation et qui malheureusement constitue pour lui la manière idéale de gouverner une nation, il est essentiel d’être informe que cet individu n’a aucun état d’âme a tromper et a leurrer des communautés entières dont il, soit dresse les membres entre eux ou qu’il, soit oppose violement a d’autres communautés voisines.

C’est ainsi que dans ce processus, important et crucial pour lui, car selon sa conception, c’est bien celui qui lui permet d’assoir et de s’assurer de la pérennité de son pouvoir sur les autres, il use a profusion de l’argent en finançant, achetant et en corrompant les personnalités qui comptent dans ces communautés. C’était le cas des communautés Somaliennes dans le cadre du traite d’Arta, et c’est aussi le cas des histoires sans fin des communautés AFAR et ISSA tant a Djibouti qu’en Éthiopie.

En effet, c’est ainsi qu’a l’époque de la guerre civile, il est intervenu sur les issas en les convainquant de contrer les actions armes du FRUD pour soit disant la défense de leurs intérêts en tant que communauté face aux Afars.

Par la suite au moment des accords de paix, s’étant engage à satisfaire toutes les revendications de la rébellion Afar, il se contenta d’acheter et de corrompre les dirigeants du front. Et c’est ainsi que les ayant mouille et pervertit, il a réussi à les couper de la communauté Afar de Djibouti et de l’Éthiopie (voir les accords avec monsieur Ougoureh Kifleh et Jean -Marie du FRUD). D’ailleurs c’est le même cas s’est présente concernant les accords avec monsieur Ahmed Dini et autres, paix a son âme Amin …

Ces deux communautés ont bel et bien été berne et manipule puisqu’ aucune d’entre elles ne s’estime aujourd’hui satisfaite. Au contraire, il continue toujours ses malversations a leur égard dans la mesure où sachant très bien que bientôt en AVRIL 2005, il va avoir de très sérieux problèmes avec les issas car de plus en plus ils font état de leur opposition a sa politique nationale et régionale, et ils s’organisent eux aussi en ce sens pour contrer ses projets politiques.

D’ailleurs, constatant le mécontentement qui grandit au sein de la communauté "ISSAS", il crée de façon sournoise par agents interposes une confrontation armée avec les Afars non plus a Djibouti mais en Éthiopie a ADAITOU, GADAMETOU, ENDUFO, GAWANI et autres …

 

Si possible aussi à prévoir dans la région de DIKHIL et de YOBOKI, afin de détourner encore une fois leur attention et leur énergie sur la défense fictive de leurs intérêts pastorales face aux Afars de l’Éthiopie et de Djibouti.

Quand a ces derniers, tenant le même langage et ayant la même attitude face aux issas, ils participent pleinement a cette vicieuse manœuvre de manipulation qui réellement n’émane que de la volonté destructrice d ‘I.O.G. a l’égard de ces deux communautés "innocents".

Depuis l’indépendance de Djibouti, ce régime à créer des conflits sans fin avec presque toutes les ethnies de la région et notamment : les issaks, les gadabourcis, les darodes, les oromos, les tigreens, les ahmaras et les afars… Bref toutes ces communautés ont une "dent" contre ce regime et attendent l’occasion pour se venger.

Voici ma conclusion sur la personnalité et la manière d’agir d’IOG:

Une observation étalée dans le temps du mode d’action d"ISMAEL OMAR GUELLEH dans sa gestion des affaires, me permet de constater qu’une certaine constance se retrouve régulièrement dans sa manière d’agir et de gérer ses dossiers. Ce constat peut se formuler comme suit:

1)- II se fixe d’abord I’ objectif qu’il veut atteindre, cet objectif est bien sur conditionne par ses priorités et, par la réalité qui s’impose a lui selon les circonstances du moment.

2(- II se délimite les différentes étapes par lesquelles il doit passer pour atteindre son but. Ces differentes etapes deviennent pour lui autant d’objectifs intermédiaires et les gens ou les observateurs se trompent très souvent sur cela, car lorsqu’ I.O.G. a franchit une de ces étapes, ils croient "tous" qu’il a atteint son objectif principal. Cela n’est pas étonnant car tant dans ses discours que dans ses actions "officielles", il fait tout pour que les gens en soient réellement persuades.

3)- Aux étapes essentielles pour la réussite de son plan, il a toujours l’habitude d’ajouter d’autres évènements qui a priori n’ont rien à voir avec son objectif mais qui pour lui n’ont qu’un seul but:

a) Désorienter totalement les observateurs ou la partie adverse afin de les empêcher de comprendre ses intentions et ainsi éviter qu’on puisse contrer ses plans.

b) Véritable expert en mystification et en désinformation (expérience a l’école du KGB), il n’hésite pas pour réussir cette manœuvre importante pour lui à engager d’énormes moyens humains, financiers et matériels.

II va même jusqu’ ‘a engager par des accords politiques ou par des fausses promesses : son nom, sa fonction, sa parole ou son pays, tellement pour lui détourner l’attention des intéressés sur ses véritables intentions a leurs égards est cruciale.

En conclusion, la seule manière de s’opposer et de contrecarrer ses plans complexes consiste à savoir le suivre quotidiennement et pouvoir le lire a travers les méandres et les circonvolutions de ses multiples manipulations ainsi que ses différentes positions qu’il adopte. Non selon son humeur et les circonstances du moment, comme beaucoup de gens auraient tendance à le croire, mais plutôt selon le schéma initial de son plan …les personnes qui le côtoient depuis longtemps comprendront cette lecture de ce rapport …/…

Sa mentalité et sa devise est: une promesse ou parole donnée n’engage que celui ou celle qui l’a croit… voir les accords du FRUD ou autres accords internationaux… le gouvernement Éthiopien, Français, Yéménite, Somalien ou Somali landais connaissent ces accords qui n’ont jamais été respecte par I.O.G. et son gouvernement a Djibouti.