28/06/10 (B558) Un couple de lecteur qui estime s’être reconnu et avoir été mis en cause dans l’interview que nous avait donnée M Bruno Mercier, souhaite que nous publions ce message. Nous le faisons bien volontiers, non pas au titre d’un droit de réponse puisqu’aucun nom n’avait été cité, mais simplement à celui de la courtoisie.

Pour rappel, lien avec l’article incriminé
___________________________ Message reçu

Nous avons l’honneur, par la présente, de porter à votre attention notre droit de réponse, suite a l’interview du 14/06/2010 de Bruno MERCIER, et nous ne nous abaisserons pas au jeu puéril de ce dernier, qui consiste à chercher un coupable à tout prix pour se discréditer.

Une procédure judiciaire étant en cours, nous prenant acte de sa dernière menace lors de son interview auprès de votre association, et les prochaines déclarations de ce personnage sur tout support se soldera par une saisie judiciaire, tant pour l’auteur que le diffuseur.

Nous sommes navrés de casser le « mythe MERCIER », mais nous ne sommes jamais allés à Djibouti, nous ne possédons aucun support sur l’affaire du défunt Juge BORREL, nous ne sommes jamais retournés au Cambodge, nous ne dirigeons aucune ONG, nous n’avons pas de compte bancaire off-shore, nous ne sommes pas des nazis, ni des pédophiles, ni des corbeaux ou terroristes, enfin, nous ne sommes pas des mafieux.

Bruno MERCIER nous fait penser aux reptiles qui terrorisent l’homme. Nous ne sommes pas de la même race, nous sommes de ceux, avec l’Archange, qui terrassent le Dragon !

M. et Mme JOLY Patrice

_____________________ Note de l’ARDHD
Nous rappelons que notre association se concentre exclusivement sur Djibouti et les pays directement frontaliers.

Elle a publié les propos de M. Mercier, tout d’abord parce qu’il venait de publier un livre et ensuite uniquement parce qu’il affirmait que certaines sources, sans donner leurs identités pourraient détenir des informations susceptibles d’aider la Justice dans la recherche de la vérité sur l’assassinat du Juge Borrel en 1995.

Nous tenons à préciser que nous n’avons aucun moyen de vérifier les affirmations des uns ou des autres, ni de prendre parti, nous limitant à publier leurs informations de façon contradictoire. Il ne nous appartient pas d’enquêter et nous respectons le travail de la Juge d’instruction en nous interdisant toute interférence dans ses investigations..

Contrairement au contenu du message incriminé, le couple a tenu à signer avec son nom. C’est sa volonté et nous la respectons. Pour autant, cela ne prouve pas que c’est lui qui était visé par l’article, et nous n’avons aucune certitude sur ce point. Nous considérons qu’il s’agit seulement d’une possibilité parmi d’autres …