01/09/10 (B567) Vérité -> Message d’un enfant d’Obock

IOG, le fils du rail et son clan ont commis des crimes contre la population Afar.

Chaque année la machine infernale orchestrée par le représentant de la tribu « M » sur la plus haute marche du Palais, commande à l’AND, dirigée par ses hommes de main, des officiers inhumains et délinquants de terroriser les populations Afar. Ils sèment gratuitement la violence contre des gens honnêtes, des paysans et des personnes âgés sans défense et loin de la métropole.

Combien sont morts sous les balles, sous les chars et sous les gaz mortels utilisés contre une population qui vit dans la pauvreté totale ?

Depuis qu’IOG a volé le pouvoir « au nez et à la barbe » du monde entier, la population Afar agonise. Plus aucune aide ni soin ne lui est envoyée par ce régime. Les jeunes sont sans avenir et n’ont aucun espoir d’obtenir un emploi.

La population Afar est noble. Elle est constituée de citoyens djiboutiens à part entière. Quelque soit le prix à payer, ils ne céderont jamais leurs droits et prérogatives de citoyens. Ils refusent totalement la politique, les mensonges et les opérations de propagandes orchestrées par IOG et ses clans.

Où sont-ils mes frères, mes amis ? Abasse, Adoita, Aramisse etc …. ils ont fui la violence, les tortures sans motif, les arrestations arbitraires. Les voila, refugiés à Addis Abeba, attendant d’être intégrés dans un pays d’accueil.

Où sont-ils nos sultans, nos représentants, nos leaders, nos intellectuels , nos jeunes dirigeants des associations, nos élus locaux et nos chefs coutumiers ? Le moment est venu, agissez vous avec méthodes en union avec les autres communautés à la recherche de la liberté.

Chers frères, où sont passées nos infrastructures, nos ports de pêche, nos boutres, nos plateaux et notre épanouissement entre les citoyens, toutes ethnies confondues ?

Pour quelles sordides raisons, IOG veut-il détruire notre culture, nos biens et notre faculté à vivre ensemble, comme des Djiboutiens ?

Pour quelles raison, IOG veut-il effacer l’histoire de toutes les communautés de Djibouti ?

Pourquoi ? L’Armée d’occupation encercle et détruit des êtres humains, des vieillards, des femmes et des enfants dans leur propre région.

Pourquoi ? Notre région est-elle submergée par des hommes en tenue de combat ?

– pour étouffer les nomades
– pour violer les femmes et le filles
– pour anéantir les enfants des Afars
– pour rayer toute une population, de la carte, dans un immense génocide programmée avec préméditation,
– pour vendre la région a de riches Arabes

Chères Soeurs et chers Frères, n’écoutez pas ceux qui prétendent nous représenter dans les institutions officielles de la République. Ils véhiculent des mensonges. Ils sont tous soumis à la solde du fils de l’Oued. Ce sont des gens sans scrupule qui détournent les faibles.

Nos ministres et députés ont commis des fautes graves envers le pays et son peuple pacifique.

– ils sont faibles et ils n’osent pas se battre pour le respect de nos droits légitimes de citoyens à part entière,
– ces sont des perroquets qui signent vite ce qu’on leur soumentn sans ne jamais en vérifier le contenu,
– ils n’ont aucune crédibilité aux yeux du peuple
– ils sont manipulés sans cesse par la dame de fer
– leur seul objectif est de s’enrichir sur le dos des citoyens
– ils obéissent aveuglement à tous les puissants et aux étrangers pour sauver leur siège,

Chers Frères leaders dans l’opposition, Chères Soeurs et chers Frères de l’ensemble de la communauté Djiboutienne, notre vie, notre avenir, l’existence même de notre pays est en grand danger :c’est le moment ou jamais de

– s’organiser et de s’unir pour agir avec méthode et détermination,
– serrer les rangs pour montrer que vous êtes décidés à obtenir la victoire,
– bloquer toutes les tentatives du régime pour se maintenir à la tête du pays,
– faire des actes concrets pour atteindre ces objectifs

Guidez la popualtion pour mettre à genoux le fils de l’oued et son système !

Nous devons démontrer que le peuple est prêt à s’opposer par tous les moyens au troisième mandat.