18/11/10 (B578) Radio Trottoir (Lecteur) Djibouti, les Services Spéciaux sont en danger.

La Garde Républicaine n’est pas épargnée -> mort Mystérieuse à Haramous le 12 novembre 2010.

Le Caporal chef Moumin Ibrahim Wais est brutalement mort juste après qu’il eut été appelé d’urgence par l’Officier de la Garde rapprochée de la Première Dame Kadra M. Haïd.

A-t-il été empoissonné par piqure ou a-t-il eu le coup fracassé ?

Son épouse et ses enfants sont sidérés.

On se demande les causes exactes de sa mort rapide. Ses voisins avaient l’habitude de le voir rentrer à la maison, sauf quand il était retenu par Madame IOG
pour des raisons de services car il était son chauffeur particulier et aussi son homme de confiance.

C’est lui qui accompagnait la Paulette
lors de ses missions
spéciales auprès des femmes nécessiteuses. La rumeur dit qu’un grand nombre de mères, dans la détresse la plus totale, étaient disposées à leur confier leurs
enfants. Etaient-il embrigadés ensuite dans une organisation, dit toujours la rumeur, de propositions à caractère pédophile qui pourraient avoir le Kempeski
et consorts pour cadre ?
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Rappelons la pédophilie continue, au vu et au su de tous les Djiboutiens, sauf aux yeux du Parquet de Djibouti, qui affiche une cécité sans égal sur ce point, mais qui intervient avec vigueur contre ceux qui dénoncent les crimes.

Il ne faut surtout pas en parler ! Secret défense. Par exemple, l’Iman d’une mosquée aurait été arrêté et placé en détention à Nagad pour avoir simplement dit dans son sermon du vendredi que des petites filles de 9 à 13 ans sont régulièrement amenées à Kempeski .
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Le 12 novembre, le Caporal Wais rentre chez lui à 14:00 h. A peine avait-il terminé son repas
entouré de ses enfants avec lesquels il discutait, le téléphone sonna. Il répondit et il se leva en disant à son épouse que la Première Dame avait besoin de lui en urgence.

Deux heures plus tard, un officier de la Garde Républicaine aurait téléphoné à l’ épouse pour lui annoncer que son mari avait été transféré d’urgence à l’hôpital et qu’il était plongé dans le coma.

Il est mort le lendemain et il a été rapidement enterré sans aucune autopsie.

Un soldat de la Garde Républicaine
qui lui aussi a peur.