23/11/10 (B579) VERITE -> LE TYRAN PERD SES REPERES ET ATTAQUE SANS MOTIF, LES CITOYENS MODESTES ( les SAMAROONS)

Vue la situation actuelle du pays qui est au bord du gouffre, la liberté entravée par le clan, la famine qui touche toutes les couches sociales.

Vus les cadres qui sont chassés, s’ils n’appartiennent pas au clan dominant, les enseignants qui sont révoqués, les instruits et les jeunes qui sont inscrits « définitivement » au registre des chômeurs par le fils de l’Oued qui a décidé étouffer les futures générations.

Vus les membres du clan qui de prélassent dans toutes les sphères de l’état, qui se mènent une bonne vie et qui se partagent jalousement l’enrichissement facile que le dictateur n’accorde qu’à ses proches ou à ses obligés.

Vu qu’IOG, le fils du rail et son clan ont détruit sur la conscience du peuple, en inhibant la fierté, le respect, la citoyenneté, l’identité nationale et l’harmonie entre les communautés.

Vu plus de 30 ans de dictature pure et dure, sans partage, sans respect des compétences ni de l’expérience et la politique de l’autruche fondée sur le clanisme. Considérant que la famille dominante a ravagé totalement notre existence, notre appartenance, notre lien de Djiboutien .

Vues toutes ces méthodes inhumaines et injustes commises par le clan et leur roi contre des citoyens sans ressources ni défense.

Ces dernier temps, IOG est malmené. Il dort mal et peu. Il n’a plus confiance en personne et il se renferme dans un cercle fermé car il n’a plus aucun soutien populaire.

IOG est en perdition ! Il se réfugie dans l’obscurité totale. Il ne dirige plus le pays, mais il dirige son clan pour se maintenir sur le trône.

IOG, le tribaliste chevronné, réveille ses vieux démons qui le ronge sans cesse : – terroriser les quartiers populaires,
– créer un climat d’insécurité,

attaquer ouvertement la communauté Samaroonne :
. Etouffer les parents
. Incarcérer les jeunes
. Humilier les cadres
. Entraver la liberté de déplacement
. Interdire toute revendication des droits légitimes
. Interdiction d’être membre d’un parti d’opposition.

Et voila la méthode d’un vrai tyran assoiffé de pouvoir, qui asservit le peuple.

IOG et son clan ont commis des fautes impardonnables envers cette noble communauté qui ne demande rien d’autre que le changement justifié.

Les Samaroones sont de vrais djiboutiens, natifs du pays. Eux ne sont pas des étrangers, comme le fils de l’oued et son clan. Ils sont nés a Djibouti-ville et dans les cercles. Ils sont des citoyens à part entière. Ils ont le droit de revendiquer, de manifester, de chercher la vérité, de leur avenir et de prendre leur part du gâteau. Si IOG est né au pays de Kotou, eux sont nés dans leur pays.

A l’époque, et l’histoire le confirme, c’était la communauté Gadabourci qui résidait a Djibouti-ville, qui accueillait et qui aidait les refugiés du clan pour faciliter leur intégration dans la vie de la métropole. Et cela personne ne peut le contredire.

Le peuple se souvient des périodes obscures, des souffrances, des tortures et de la violence quasi quotidienne exercée contre la communauté Samaroone au sein de leur pays.

– Affaire du café de Paris
– révocation en masse des cadres issus de cette communauté,
– forcer les intellectuels et les enseignants à quitter le pays,
– appropriation par la force, des immuebles et des titres de commerce,
– extermination des hommes politiquement aptes.

Voici les grandes figures démocrates issues de la communauté Samaroone qui ont refusé, avec fermeté, le système barbare, les détournements de fonds publics, la violence, l’injustice, le vol des richesses nationales et le projet de 3ème mandat.

– Dr OMAR OSMAN RABEH
– SOULEIMAN FARAH LONDON
– MAHDI IBRAHIM GOD
– OBLIK CARTON
– MOUSSA AINANCHE
– IDRIS BADAR YONIS
– ALI DIGUE
– etc …………

Chers frères. Pour l’ensemble de la communauté Djiboutienne, le moment est venu d’agir, de se révolter, et de refuser le 3ème mandat. C ‘est votre vie qui est en danger, saisissez ce moment, aujourd’hui ou jamais. Sinon le clan va cicer encore s’abreuver du sang des citoyens déjà affamés et appauvris par le système du fils de l’Oued.