28/11/10 (B580) Happy Birthday M. Guelleh. 63 ans, un bel âge pour faire valoir ses droits à la retraite …. !

Monsieur Guelleh. Voilà dix ans que vous torturez le peuple djiboutien. Voilà dix ans que vous ruinez le pays en accaparant toute sa richesse, en bradant le patrimoine sans appel d’offre et en faisant fuir les investisseurs et les usagers du port.

Grâce à cela, votre famille a accumulé un capital considérable qui est placé en « père de famille » dans des banques étrangères, dans des paradis fiscaux et dans des activités hautement rentables, comme, par exemple, la fabrication et le commerce d’armes en Afrique du Sud.

A 63 ans, il est temps de profiter de la vie. Ni les Djiboutiens, ni les affaires pénales dans lesquelles vous pourriez être impliqué avec des membres de votre famille et des proches, ne vous laisseront plus jamais une minute de tranquilité ni une heure de bon sommeil réparateur.

Il est temps de faire vos valises et de vous réfugier dans un pays d’accueil compréhensif, avant que la tempête ne se déchaîne contre vous. Tempête populaire qui va manifester son hostilité au troisième mandat illégal, tempête judiciaire avec des affaires nombreuses de crimes, tempête financière avec des biens mal acquis en particulier en France.

Si vous pensez que vous devez conserver un peu de dignité et votre liberté, il n’y a plus une seconde à perdre. Partez vite et vous offrirez par la même occasion, le plus beau cadeau d’anniversaire au peuple djiboutien.

Si vous ne le faites pas, ne vous bercez pas d’illusion. Les nuages s’amoncellent sur vos épaules et la fin vous sera alors imposée avec tous les risques imaginables, y compris pour votre liberté … Les rivalités internes, au sein de vos obligés, deviennent mortelles … Vos soutiens, dans le pays et sur la scène internationale, commencent à s’éloigner et c’est dans une immense solitude que vous disparaitrez de l’actualité internationale, régionale et nationale, pour alimenter les chroniques pénales internationales.