26/02/11 (B593) Point de vue Je ne suis pas très surpris de voir cette association des malfaiteurs avec leur Chefs en tête comme le couple infernal IOG/Kadra puis notre grand dictateur condamne l’opposition légale aux recours des armes et vandalismes pour garder le pouvoir à vie à lui-même (sic). (Lecteur)

C’est une chose qu’ils ont eu à faire ceux d’avant lui et présent comme les grands tyrans qui ont foulés sur cette planète depuis belle lurette tels que Pharaon, Nébrode, Adolf Hitler, Staline, Idamine Dada, Mussolini, Ben Ali, Moubarak , Khadafi etc…

Le terme dictateur – étymologiquement « celui qui parle » – désignait sous la Rome antique une magistrature exceptionnelle. C’était une magistrature suprême avec les pleins pouvoirs. Voir l’article : Dictateur romain.

C’est l’expression utilisée actuellement pour désigner ce que l’on appelait tyran dans l’Ancien Régime. Elle n’est généralement utilisée que pour désigner des chefs d’État de la période moderne (à partir des années 1930).

De manière générale, on appelle dictateur un chef d’État qui dispose d’un pouvoir absolu qu’il exerce de manière autoritaire. Si beaucoup de dictateurs arrivent au pouvoir à la suite d’un coup d’état (en Amérique du sud notamment) ou d’une guerre civile (Francisco Franco), il arrive qu’un dirigeant d’abord élu démocratiquement se transforme en dictateur (c’est le cas d’Adolf Hitler).

Les totalitarismes issus du début du XXe siècle (Allemagne nazie, URSS) ont donné au monde quantité de dictateurs au siècle dernier.

C’est vrai, comme un proverbe français a dit le ridicule ne tue pas.

Mais la démocratie est ridiculisée dans son essence même et cela me semble être une stratégie mise en place pour pérenniser leur pouvoir.

C’est l’histoire du voleur qui ne veut pas être volé, à l’heure actuelle où les choses bougent partout dans le monde comme la révolte du jasmin de la Tunisie, Égypte, Libye et les autres pays arabes.

Une lettre de lecteur publiée par le Financial Times d’aujourd’hui confirme le rôle de l’inflation des prix alimentaires en Égypte et dans les mondes arabes et africains.

La lettre de Vincent Truglia, intitulée, « C’est la nourriture et non pas la politique qui est au centre de la contestation en Égypte »,affirme que l’alimentation est « la vraie raison » du soulèvement actuel. « Il ne s’agit pas d’un soudain désir de réforme.

La question essentielle est plutôt le prix de la nourriture. (…)

Le ministère de l’Agriculture égyptien rapporte que 40% de la consommation alimentaire, comprenant 60% de la consommation intérieure de blé, l’aliment de base du pays, furent importés. L’Égypte, dans le passé, un des greniers à blé du monde, est aujourd’hui humiliée par son statut de plus grand importateur de nourriture mondiale. De plus, le gouvernement annonça que 50% des approvisionnements en blé furent ravagés par des insectes. Un tel gouvernement jette des doutes sur sa compétence. (…) L’enjeu n’est pas un enjeu politique; il s’agit de nourriture.»

Les choses ne sont jamais éternelles mes frères et sœurs compatriotes Djiboutiens et Djiboutiennes, comme disait Berthold Brecht, « L’affamé ne peut pas manger un bulletin de vote.» Alors les charognards vous n’avez pas rassasiés encore du cadavre de la pauvre république de Djibouti Basta IOG/Kadra!!! Dégage IOG/Kadra!!!Dehors IOG/Kadra , Kafaya IOG/Kadra!!!