13/04/11 (B599) Vérité – > aux yeux du monde entier et des pays amis de Djibouti, la France, les USA, la communauté européenne, le Canada, …, le dictateur chevronné IOG vient de commettre le vol du siècle, pour conserver son trône. (Lecteur)

IOG, le fils de l’oued, le tyran s’est auto-proclamé Président illégitime et impopulaire, par la force et l’argent sale en achetant son adversaire en chocolat et politiquement inapte.

IOG a commis une très grave erreur en voulant danser tout seul, en préparant l’élection avec son clan clan ? en débloquant des budgets pour acheter les faibles et surtout en employant la force pour étouffer la population. C’est de façon méthodique qu’il a préparé le vol du 3eme mandat.

Les membres du clan dirigeants ont déployé des plans d’ignorance, d’humiliation et d’isolement de la population pour élire leur Tonton :

– la machine de propagande
– la préparation des caisses noires et la distribution de billets,
– la distribution de cartes électorales aux populations voisines et aux étrangers
– la mise à l’écart et l’intimidation par la violence des leaders d’opposition
– la sélection de membres du clan pour assurer les fonctions de responsables des bureaux de votes
– l’espoir donné aux plus faibles d’accéder à des postes fictifs après la consultation

Tout au long du processus, IOG a refusé d’évaluer la situation, d’entendre les appels du peuple et surtout il a totalement ignoré les citoyens légitimes qui sont nés sur notre terre brûlée.

IOG raconte souvent que le peuple est pauvre et qu’il survit dans la famine.

Mais il fait toujours la sourde oreille pour ne pas entendre ni ses revendications ni ses plaintes.

Mal ou peu organisés, il faut reconnaître que les leaders d’opposition ne sont pas à la hauteur de la situation ni des enjeux, en particulier IOG du trône en or et diamant, actuellement consolidé à grand peine par sa poupoule la Qabyo.

IOG et son clan se sont rendus coupables d’actes inhumains et insupportables. Cela sera écrit dans l’histoire

« Ignorer complètement les appels du peuple et voler le 3ème mandat aux yeux du monde entier." Vu le comportement du tyran, la haine d’un peuple monte d’un cran et elle pourrait bien lui éclater à la figure un prochain jour.

Dans toute l’histoire, personne n’a jamais pu contenir bien longtemps, par la force, la colère de tout un peuple pacifique qui demande sa liberté et de meilleures conditions de vie.

Dans notre pays, aucun Djiboutien de souche, ne pouvait accepter la réélection du dictateur qui a volé par la force la voix du peuple alors que nos concitoyens souffrent profondément sur leur terre. Qui pourrait les décourager de lutter, de se révolter et de se soulever contre le régime, puisque le pays est hypothéqué par un clan et un groupe de malfaiteurs dirigé par le fils d’Anjero.

Notre dictateur semble ne pas avoir compris la leçon et il oublie que le peuple aura toujours le dernier mot. Avec le temps, les tyrans finissent soit dans des centres médicaux spécialisés soit dans des prisons.

Dès le lendemain du 8 avril, IOG est devenu l’homme qui a le plus d’ennemis au sein du pays et à l’étranger.

– la famille Borrel
– le peuple Djiboutien
– les enfants des cercles
– les jeunes du pays
– les vrais électeurs Djiboutiens
– les intellectuels
– les Oulémas, les cheiks
– les mères et les filles
– les retraités forcés
– les parents, les personnes âgées
– les démobilisés
– les cadres, les enseignants
– les diasporas
– la terre, les plaines, la mer, les montagnes et même la nature refuseront désormais de donner asile à IOG et sa famille.

Chers frères, chers concitoyens ! Révoltez-vous, car c’est votre droit et c’est aussi votre devoir car il y va de la vie des générations futures. L’avenir de nos jeunes est compromis actuellement, notre bien-être sociale aussi. Au final, c’est l’existence même de la communauté Djiboutienne qui dépend de nos actions. Vivre en liberté dans l’égalité, voilà notre espoir !

Alors agissez tous ensemble pour montrer au tyran que le jeu n’est pas encore terminé et que le peuple est en colère contre ce dictateur qui imagine encore avoir les capacités suffisantes pour se maintenir au pouvoir.

Ensemble cherchons notre vie et notre identité et retrouvons notre fierté. Vous n’avez besoin de personne pour marcher vers l’objectif et arracher notre liberté.