23/07/2011 (B614) Dépêche qui nous est adressée par l’UJD (Union de la jeunesse djiboutienne). Grande offensive de ratissage des rebelles du Nord.

Selon des sources militaires confirmées, une grande offensive de ratissage des rebelles du Nord programmée par l’Etat major général des armées sous les ordres d’IOG se poursuit depuis quelques jours au Nord du pays pour nettoyer les rebelles du Nord dirigé par Abdoulkader Aden, chef d’état major à la défense du FRUD-armé sous la direction de Mohamed Kadamy.

Croyez-vous les rebelles ne comprennent pas seulement des Afars mais aussi des Issas, de même ils ne sont pas installés seulement au Nord mais aussi au Sud de l’Est à l’Ouest. Cela constitue même une sorte de guérilla partout face à une pseudo-armée gouvernementale qui a oubliée l’essence même de sa création et les valeurs de sa légitimé et de sa légalité qui n’est autre que la défense de la patrie et de la garantie de la Constitution contre tout homme quelque soit ou tout ennemi qui s’attaque à la souveraineté nationale et à l’intégrité territoriale de notre pays .

Cela montre délibérément qu’aucune solution pacifique reste absurde et que la seule solution est l’option de guerre ou plutôt de guérilla ou la jeunesse Djiboutienne se recrute et gagne massivement la rébellion puisque ce régime dictatorial présidé le Président du 3eme mandat illégal a perdu toute légitimité populaire qui s’exprime par les urnes mais non par la violation de la Constitution et d’un Coup d’Etat électoral.

De ce fait, on craint qu’un nouveau massacre ou plutôt un nouveau génocide sera perpétré par ce régime assoiffé de sang qui veut détourner l’opinion nationale face à la réalité de la vie dure et chère qu’affronte les citoyens Djiboutiens ces derniers temps .De même , le régime déclare officieusement aux citoyens à travers son service de désinformation de la société (SDS) que c’est une guerre pour contrer une nouvelle offensive érythréenne alorsqu’en vérité ce sont des opérations de nettoyage du Nord avec un risque élevé d’extermination des populations civiles innocentes déjà meurtries.

Autre chose, les forces d’interpositions de Qatar se sont retirées de la zone des conflits après des échecs de négociations et des transferts des prisonniers dont l’Emir du Qatar représenté par son émissaire se montrait médiateur des négociations entre les deux camps qui ont des conflits frontaliers depuis fort longtemps dont la vrai cause de ces conflits n’est pas claire.Est-ce un conflit du aux tracés des frontières ou seulement du a des sévices politiques d’expansionnisme ?

En réalité, il existe au Nord un triangle de zone de guerre chevauchant entre les frontières de Djibouti, Erythrée et Ethiopie ou l’insécurité et l’instabilité règnent, et servent aussi un refuge pour les rebelles. Sans oublier les nouvelle sanctions de l’IGAD contre l’Erythrée, les régimes dictatoriaux de MELES ZENAWI et d’IOG soutenu par les américains veulent isoler et renverser ISEYAS AFEWORKI à travers des rebelles financées et formés par ces régimes qui servent des bases-arrières du terrorisme sous les yeux vigilants des soi-disant Communauté internationale sise a Djibouti ,championne de la démocratie et de l’anti-terrorisme !?.

Ainsi, ISEYAS se défend légitimement par toutes les options de guerre et de guérilla. Donc la situation au Nord est fragile et les populations civiles installées dans cette zone risquent de payer lourdement aux prix de leurs vies le prix de ces politiques gangréneuses et gangstérises maintenues par ces régimes dictatoriaux sans distinction.

Par conséquent, les leaders et les politiciens Djiboutiens ont mis en garde IOG qu’il est le Chef suprême des armées loyales et non pas Chef supreme des rebelles et des mercenaires et de ne s’occuper à gérer que les affaires intérieures de l’Etat et de répondre aux recommandations légitimes des citoyens .
Enfin, ils ont tenu en témoin la Communauté internationale avec sa présence militaire à Djibouti car nous n’accepterons jamais et restés bras croisés que de nouveau seront massacrés nos concitoyens Djiboutiens ni même privés de leurs droits civils et politiques quelque soit leur race ,leur ethnie ou leurs opinions politiques.

S’y ajoute la tension reste tendue ici à l’intérieur du pays ou des fortes révoltes estudiantines secouent le régime partout ces derniers temps après les proclamations des résultats des examens du BAC et du BEPC devenu BEF.

Cela montre réellement l’état catastrophique de notre système éducatif qui a perdu la qualité et la crédibilité du a la malgouvernance et l’hypocrite corruption menée par IOG et son régime. N’oubliez pas que ces révoltes ne sont qu’à leur début et sachez aussi que ce régime ne restera pas si longtemps et si lointain.

Les heures lui sont comptées comme MOUAMAR KADAFI ou ALI ABDALLAH SALAH.

La lutte continue.