01/02/2012 (B641) Courrier des lecteurs : la fête est finie pour le Prince des noisettes …

_____________________________ Note de l’ARDHD

Après avoir régné en tyran durant de nombreuses années sur l’Ambassade de Djibouti à Bruxelles où il a exercé ses talents d’espion pour le SDS, de boxeur de chauffeur, où il a usé de son pouvoir impitoyable contre ses concitoyens et qu’il a opposé son arrogance insoutenable vis à vis des autorités belges et des corps constitués, Med Moussa Chehem a enfin été limogé par son patron.

Certes, il devrait avoir amassé un joli paquet d’argent, sur le dos du Trésor djiboutien et des malheureux qui avaient besoin d’un document ou d’une recommandation, ne faisant qu’imiter ses maîtres à Djibouti. Le voilà au chômage aujourd’hui.


En principe un Ambassadeur qui perd son poste, doit rentrer dans son pays. Eh bien, il semble, d’après ces lecteurs qui nous envoient l’information, que ce ne serait pas son cas et qu’il préférerait rester à Bruxelles pour continuer sa vie, que certains observateurs, qualifiaient autrefois de « débauche ». Ce qui lui avait valu l’ouverture d’un dossier sur notre site, que chacun peut consulter avec ce lien : « dérives à l’ambassade de Bruxelles » .

Si elles nous demandaient un avis, nous ne pourrions que recommander aux autorités belges d’opposer une fin de non recevoir à la demande de séjour déposé par cet homme sulfureux, qui a bafoué la justice belge et toutes les institutions internationales. Une claque qui pourrait être bien méritée et qui tomberait à point nommé après celle qu’il a déjà reçue lors du dernier sommet du FAO.

Rappelons qu’il est un membre influent de l’Ordre des Brosses à Reluire où il a été coopté à deux reprises : première citation du 27/09/2002 : « Flagorneur inconsistant », deuxième citation du 02/03/2004 « Grand manipulateur » .

Voici comment il qualifiait (en 2002) les réfugiés djiboutiens : « La vérité est que les soi-disant opposants djiboutiens en exil ne sont que des réfugiés économiques. Ils sont désœuvrés et essaient de se donner de l’importance en accusant leur propre pays de tous les maux… » . Est-il passé de l’autre côté de la barrière et pense-t-il que cette description « visionnaire », puisse s’appliquer désormais à sa situtation ?

_________________________________ (Par Kassina)

L’ex-ambassadeur de Djibouti en Belgique Monsieur Mohamed Moussa Chehem serait-il jugé persona non grata à l’Office des Etrangers ? (par Kassisna)

Décidemment le compte à rebours a commencé pour l’ex-Ambassadeur de Djibouti en Belgique, Mohamed Moussa Chehem.

En effet, après avoir écopé de lourdes sanctions pécuniaires pour avoir transgressé le droit du travail Belge en matière de licenciement des contractuels, puis expulsé manu militari du dernier sommet de FAO, le voilà le pauvre homme livré à un supplice de tantale au guichet de l’Office des Etrangers à Bruxelles où il ne serait guère plus en odeur de sainteté.

Et pour cause, l’ex-ambassadeur serait connu à l’Office des Etrangers comme « son excellence arrogant » qui traite sans égard ses partenaires dans les correspondances administratives qu’il conclue souvent par cette formule piquante à servir dans toutes les sauces : « La République de Djibouti est un Etat souverain qui n’a des leçons à recevoir de personne … » CQFD.

En observant un silence prolongé face à la demande de titre de séjour déposée par Moussa Chehem ,l’autorité compétente en la matière semble lui signifier qu’une personne qui bafoue les lois du Royaume n’est pas la bienvenue en Belgique.

La diaspora djiboutienne en Europe solidaire des victimes de Mohamed Moussa Chehem en Belgique et à Djibouti ne verrait que justice dans le refus de l’octroie de titre de séjour à cet ennemi juré de l’Etat de droit et de la démocratie.