07/02/2012 (B642) Le FMI vote-t-il Guelleh ? (Anglais + traduction automatique en Français avec Google)

__________________________ Note de l’ARDHD

En dépit d’un rapport que nous avions pu nous procurer et qui semblait défavorable, à l’issue d’une réunion à Djibouti fin 2011, qui s’était très mal terminée sur une incompréhension des enquêteurs à propos de certains financements, en particulier du nouvel avion de Guelleh, il semble que le FMI renouvelle son soutien financier au régime dictatorial qui asservit la population et qui détourne tous les fonds publics et les aides internationales dont celles du FMI.

Merci au FMI de contribuer à l’enrichissement de la famille princière de pacotilles et de soutenir un régime contre sa population qu’il maltraite et qu’il ruine progressivement.

En tout cas, nous sommes prêt à parier que les Djiboutiens ne recevront pas grand chose de ces nouvelles aides.

_____________________ Original en Anglais (Source FMI)

IMF Executive Board Completes Fifth Review Under Djibouti’s Extended Credit Facility Arrangement and Approves Request for Augmentation of Access and US$ 9.7 Million Disbursement
Press Release No.12/38
February 6, 2012

The Executive Board of the International Monetary Fund (IMF) completed today the fifth review of Djibouti’s economic performance under the Extended Credit Facility1 arrangement (ECF) and approved the authorities’ request for an augmentation of access of SDR 9.54 million (US$14.7 million, 60 percent of quota) to meet the additional external financing needs created by the increase in global commodity prices and the drought in the Horn of Africa. The augmentation will be disbursed in equal parts upon completion of the fifth and sixth reviews.

The Board’s decision enables the immediate disbursement of SDR 6.246 million (about US$9.7 million), bringing total disbursements under the program to SDR 16.014 million (US$24.75 million).

The Board also approved the authorities’ request for two waivers of nonobservance of the end-June 2011 performance criteria on the fiscal balance and on net banking system credit to the government. Furthermore, the Board granted waivers of nonobservance on the continuous performance criteria on the non-accumulation of external arrears and the accumulation of new domestic arrears (related to delays in the payment of salaries and pensions), which were not observed in the second semester as a result of the tight cash flow situation.

These waivers were granted on the grounds of temporary or minor deviations from the program objectives or the corrective measures undertaken by the authorities. The Board also granted a waiver for the non-observance of the external payments arrears performance criterion following minor data revision after the completion of the fourth review under the ECF arrangement.

The ECF arrangement for Djibouti was approved in September 17, 2008 (see Press Release No. 08/211) for an amount to SDR 12.72 million (about US$19.66 million, or 80 percent of the country’s quota in the Fund). On January 7, 2011, the ECF arrangement was extended by 9 months, through June 16, 2012 (see Press Release No. 11/3).

After the Executive Board’s discussion, Ms. Nemat Shafik, Deputy Managing Director and Acting Chair, said:

“Djibouti has been hit hard by the spike in commodity prices and the Horn of Africa drought, which have affected particularly the poorest households. These shocks have hiked imports, especially on food and fuel, thus increasing the current account and external financing needs, and have put pressure on fiscal space through lower tax revenues and higher fuel subsidies. The augmentation of access of 60 percent of quota under the ECF will help Djibouti meet the additional financing needs stemming from the two exogenous shocks.

“Looking ahead, strong commitment to the ECF-supported program is necessary to maintain macroeconomic stability and reduce poverty. Fiscal policy should focus on increasing revenues and controlling expenditure, while protecting priority social expenditure and capital investment. Further progress on public financial management will strengthen the budget process. Pursuing prudent debt policies, including avoiding non-concessional borrowing remain critical for maintaining debt sustainability.

“Strengthening bank supervision and regulation will help address the challenges posed by the rapid development of the financial sector. Structural reforms should aim at improving competitiveness and fostering private sector development. Reforming the state-owned energy company will lower energy costs and reduce government transfers.”

_______________________ Traduction automatique Google
proposée sans aucune garantie pour faciliter la compréhension

Le Conseil d’administration achève la cinquième revue de Djibouti Sous arrangement de crédit du Fonds étendue et approuve la demande pour une augmentation de l’accès et aux États-Unis 9,7 millions de dollars de décaissement

Communiqué de presse No.12/38
Février 6, 2012

Le Conseil d’administration du Fonds monétaire international (FMI) a achevé aujourd’hui la cinquième revue de la performance économique de Djibouti dans le cadre de la facilité de crédit élargie une entente (ECF) et a approuvé la demande des autorités pour une augmentation de l’accès de DTS 9,54 millions (Etats-Unis $ 14,7 millions, 60 pour cent de la quote-part) pour obtenir le financement externe supplémentaire aux besoins créés par l’augmentation des prix mondiaux des matières premières et de la sécheresse dans la Corne de l’Afrique. L’augmentation sera versée à parts égales à la fin des examens cinquième et sixième.

La décision du Conseil permet le décaissement immédiat de DTS 6.246.000 (environ $ 9,7 millions aux États-Unis), ce qui porte le total des décaissements au titre du programme de 16,014 millions de DTS (Etats-Unis 24,75 millions de dollars).

Le Conseil a également approuvé la demande des autorités pour deux dérogations de non-respect des fin juin 2011 des critères de performance sur le solde budgétaire et sur le crédit du système bancaire net à l’État. En outre, le Conseil a accordé des dérogations de non-respect des critères de performance en continu sur la non-accumulation d’arriérés extérieurs et de l’accumulation de nouveaux arriérés intérieurs (liée à des retards dans le paiement des salaires et pensions), qui n’ont pas été observées au second semestre comme à la suite de la situation de trésorerie tendue.

Ces dérogations ont été accordées sur les motifs des écarts temporaires ou mineures par rapport aux objectifs du programme ou les mesures correctives prises par les autorités. Le Conseil a également accordé une dérogation pour le non-respect de l’paiements extérieurs critère de performance à la suite des arriérés révision mineure de données après l’achèvement de la quatrième revue de l’accord FEC.

L’arrangement ECF pour Djibouti a été approuvé en Septembre 17, 2008 (voir Communiqué de presse n ° 08/211 ) pour un montant de DTS 12,72 millions (environ $ 19,660,000 aux États-Unis, soit 80 pour cent du quota du pays dans le Fonds). Le 7 Janvier 2011, l’arrangement ECF a été prolongé de 9 mois, grâce à Juin 16, 2012 (voir Communiqué de presse n ° 11/3 ).

Après discussion, le Conseil exécutif, Mme Nemat Shafik, Directeur général adjoint et Président par intérim, a déclaré:

« Djibouti a été durement touchée par la flambée des prix des matières premières et de la Corne de l’Afrique la sécheresse, qui ont affecté en particulier les ménages les plus pauvres. Ces chocs ont parcouru les importations, en particulier sur les denrées alimentaires et du carburant, augmentant ainsi le compte courant et les besoins de financement externes, et ont mis la pression sur l’espace budgétaire par le biais des recettes fiscales plus faibles et des subventions plus élevés du carburant. L’augmentation de l’accès de 60 pour cent de la quote-titre de la FEC aidera Djibouti répondre aux besoins de financement supplémentaires découlant des deux chocs exogènes.

« A l’avenir, un engagement fort pour le programme appuyé par la FEC est nécessaire pour maintenir la stabilité macroéconomique et réduire la pauvreté.

La politique budgétaire devrait se concentrer sur l’augmentation des revenus et la maîtrise des dépenses, tout en protégeant les dépenses sociales prioritaires et les investissements en capital. De nouveaux progrès sur la gestion des finances publiques permettra de renforcer le processus budgétaire. Poursuivre des politiques prudentes de la dette, y compris en évitant les emprunts non concessionnels rester critique pour le maintien de la viabilité de la dette.

« Renforcement de la supervision bancaire et la réglementation permettra de faire face aux défis posés par le développement rapide du secteur financier. Les réformes structurelles devraient viser à améliorer la compétitivité et favoriser le développement du secteur privé. La réforme de la société d’énergie appartenant à l’État fera baisser les coûts de l’énergie et de réduire les transferts gouvernementaux. « 

1 La Facilité élargie de crédit (FEC) a remplacé la réduction de la pauvreté et la croissance (FRPC) comme principal outil du Fonds à moyen terme un soutien financier aux pays à faible revenu en offrant un niveau plus élevé de l’accès au financement, des conditions plus favorables, le renforcement de la flexibilité dans la conception des programmes, et plus ciblée de conditionnalité simplifiée. Le financement au titre de la FEC est actuellement un taux d’intérêt zéro, avec une période de grâce de 5 ans et demi, et une échéance finale de 10 ans ( ). Le Fonds examine le niveau des taux d’intérêt pour toutes les facilités concessionnelles tous les deux ans.