13/03/02 L’Ambassadeur de France vole de nouveau au secours d’IOG.

Note
de l’ARDHD : nous reprenons une dépêche parue dans l’ADI.
Les salaires dans la fonction publique n’ont pas été
payés depuis plus de huit mois. Guelleh continue s’enrichir
sur le dos du pays qu’il étrangle financièrement et
la France vient à son secours en lui donnant, ce mois-ci, plus
de 5.000.000 de FF soit env. 800.000 €.

MERCI
AUX CONTRIBUABLES FRANCAIS QUI DONNENT GENEREUSEMENT DE L’ARGENT A
GUELLEH PENSANT QU’ILS AIDENT UN PEUPLE EN DIFFICULTE MAIS QUI IGNORENT
QU’ILS FINANCENT LE MALHEUR DU PEUPLE DJIBOUTIEN ET SON ASSERVISSEMENT.

FELICITATIONS
A MONSIEUR PATRICK ROUSSEL, AMBASSADEUR DE FRANCE, POUR SON EMPRESSEMENT
A FINANCER EN PERMANENCE LA DICTATURE ET GUELLEH, QUI POURRAIT ÊTRE
IMPLIQUE PROCHAINEMENT DANS L’ASSASSINAT D’UN MAGISTRAT FRANCAIS.

LA
RAISON SERAIT LA MISE EN OEUVRE DES ACCORDS FRUD / GUELLEH, ALORS
QUE TOUT LE MONDE SAIT BIEN QUE LE PROBLEME N’EST PAS REGLE ET QUE
LE FRUD ENVISAGE MEME DE RECOMMENCER SES ACTIONS.

Et un grand
merci aux français, toujours connus
pour leur générosité.
Avec ce nouveau cadeau, je vais pouvoir faire réparer mon avion
….

Signature
d’un protocole d’accord entre Djibouti et la France

(ADI)
ADI/DJIB/1897/257 MOTS

DJIBOUTI(ADI)-
12 mars- Le Ministre des Affaires Etrangères et de la Coopération
Internationale, Chargé des relations avec le¨Parlement,
Ali Abdi Faraf et l’ambassadeur de la France accrédité
à Djibouti M.Patrick Roussel, ont signé aujourd’hui
un protocole d’accord relatif à la mise en place, en République
de Djibouti, d’un mécanisme de crédits déconcentrés
financé par le Fonds Solidarité Prioritaire du Ministère
français des Affaires Etrangères d’un montant de
800.000 Euros (environ 125 millions de FD).

D’après
un communiqué parvenu à l’Agence Djiboutienne d’Information,
ces projets éligibles à ce présent fonds qui
est intitulée ‘Fonds Social de Développement’
contribueront, dans leur grande majorité, à l’œuvre
de réhabilitation des zones touchées par le conflit
qui a pris fin par la signature des Accords de paix et de la concorde
civile, le 12 mai 2001.

Ce même
communiqué affirme en outre que ces projets viseront en priorité
des réalisations physiques dans les secteurs sociaux et les
services collectifs. Les dynamiques micro-économiques de groupe,
créatrice de revenus et d’emplois seront par ailleurs
favorisées. Ces projets interviendront de préférence
au bénéfice des populations pauvres en milieu urbain
et rural.

En signant ce
protocole les deux parties françaises et djiboutienne ont réaffirmé
leur volonté d’œuvrer ensemble pour que les populations
concernées puissent bénéficier, dans les meilleurs
délais, de la remise en état d’équipements
d’intérêt collectif nécessaire au développement
économique et social des zones touchées par le conflit,
consolidant ainsi le retour à la paix.

ADI – 8H
55 GMT – 12 MARS 2002