31/03/02 A lire dans Les Nouvelles d’Addis : Fondé fin février 2002, le Gouvernement en exil de Djibouti se positionne en rassembleur de l’opposition.

 

Le GED souhaite
« présenter un projet d’avenir crédible
aux institutions européennes et internationales »,
conscient que sans leur soutien « toute tentative de
remise en ordre serait vouée à l’échec
». D’avance, il dénonce les élections
générales prévues en décembre
2002 à Djibouti, affirmant que se « prépare
déjà un nouveau "rapt" électoral
».

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DÉPÊCHE MOULIN DU PONT (MDP)
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PARIS,
28/03/2002 (16H00). – MDP. – Le Gouvernement en
exil de Djibouti (GED) se positionne en rassembleur de l’opposition.

Un Gouvernement
en exil de Djibouti (GED) a été formé
à Paris le 23 février 2002, sous la présidence
de Mahamoud Idriss Ahmed. Selon ses fondateurs, le GED est
le « moyen d’action privilégié pour mobiliser
et pour sensibiliser [les Djiboutiens], afin qu’ils retrouvent
l’espoir et qu’ils soient prêts à défendre
leur honneur et leurs droits ». Le GED a été
fondé aussi « pour présenter un projet
d’avenir crédible aux institutions européennes
et internationales, sans le soutien desquelles toute tentative
de remise en ordre [à Djibouti] serait vouée
à l’échec. »

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