07/08/02 DAALLO Airlines confusion d’intérêts et pratiques douteuses.

Je vous communique
quelques informations pour ce qui concerne la société DAALLO
Airlines qui est dirigée par MOHAMED HEID, ELMES HEID et DJAMA
HEID.

Lorsque l’on
sait qu’ils exercent par ailleurs des responsabilités dans
divers postes importants plus ou moins rattachés au gouvernement,
on peut se poser la question de savoir comment est structurée ladite
société, quelle est sa fiabilité financière
et sa conformité avec les règles internationales celles
définies par l’IATA et qui préservent notamment les
droits des passagers.

De par son articulation,
elle semble corresponde à un type de société aérienne
et qui a défrayé la chronique dans les années 95
et qui n’avait d’aérien que le nom derrière lequel
se masquaient diverses manoeuvres frauduleuses voire des trafics et des
recyclages d’argent.

Interrogée
sur ce sujet, la Direction Générale de l’Aviation djiboutienne
pourrait apporter quelques indispensables renseignements d’ordre
administratif public, donc visibles par tout citoyen qui en fait la demande,

Dans les faits on
constaterait, que la société DAALLO Airlines n’a aucune
reconnaissance de son existence sur le plan international car ne disposant
pas des compétences requises, de flotte aérienne et d’accréditation
en « Transport aérien Public » et que de ce fait elle
s’avérerait insolvable en cas d’accident car ne bénéficiant
d’aucune couverture d’assurances suffisante.

En conséquence
de quoi car se situant en dehors des Lois internationales en matière
de transport aérien, elle ne peut donc procéder à
la vente d’une billetterie internationale, sauf à penser qu’elle
pourrait bénéficier de la caution de la Direction de l’aviation
civile djiboutienne qui, dans ce cas, se positionnerait en dehors des
règles internationales notamment, en ce qui nous paraît être
un grand risque, en matière de Responsabilité Civile en
cas d’accident.

Ajoutons à
cela que DAALLO Airlines affrète un avion Boeing 757 exploité
par Air Holland à qui elle délivre gratuitement sur l’Aéroport
d’Ambouli le carburant Jet A1 tout en l’exonérant de
diverses taxes d’un montant relativement élevé et qui
sont par ailleurs imposées de manière très stricte
aux autres compagnies aériennes.

Il y a là encore
une nébuleuse et une différenciation de traitement qui mérite
quelques éclaircissements.

L’attention de
tous les passagers doit être absolument attirée sur le problème
que pose la fiabilité financière de cette société
qui bat pavillon alors qu’elle n’est pas autorisée à
le faire sur le plan international et qui risquerait de « disparaître
» au moindre problème grave… ou de recherche financière
en responsabilités.

Bouh
warsama