09/10/02 Une fois n’est pas coutume. Bien qu’il soit rentré à Djibouti après un périple européen qualifié au départ d’extrêmement important, l’ADI a oublié de mentionner le retour de Guelleh et de citer avec emphase toutes les personnalités présentes pour l’accueillir à l’aéroport. Sabotage, simple oubli ou retour sans tambours ni fanfares ?

Dans l’ADI, nous découvrons
que Guelleh a présidé le 17 ème Conseil des Ministres
et qu’il a fait une déclaration vide de sens et de contenu sur les
résultats de son voyage à Paris. Il ne dit rien ni de son passage
à Bruxelles, ni de son détour par l’Allemagne.

Peut-on aller jusqu’à
dire qu’il est amer et déçu ? Comme, chez lui, l’amertume et
la déception se transforment immédiatement en pulsions violentes
et en colères incontrollées (cf son attitude désastreuse
lors de la conférence de presse de Paris)
, on peut imaginer qu’il
est arrivé à Djibouti dans une humeur massacrante (massacrant
doit être pris ici au sens propre et non figuré du mot).
,
Est-ce la raison qui expliquerait aue personne ne soit venu pour l’accueillir ? L’autre explication pourrait être le fait que le directeur de l’ADI, celui qui a une voiture et un chauffeur, aurait oublié de se réveiller pour couvrir l’événement….

La question se pose puisque,
contrairement aux habitudes, le cireur habituel de pompes de l’ADI ne nous
informe pas convenablement du retour du Grand Génie meurtri et de l’accueil enthousiaste que la Cour mafieuse lui aurait réservé, comme elle le fait d’habitude, soutenue, bon gré, mal gré, par les Ambassadeurs accrédités, ‘obligés’ de venir à l’aéroport pour se mêler à leur groupe bruyant.