24/12/02 (B177) ALERTE : Après les hommes, IOG va-t-il s’en prendre une nouvelle fois à des enfants ?

Nous apprenons que des
menaces sérieuses péseraient sur la vie des enfants de l’ancien
commandant IFTIN. Des hommes de main d’IOG auraient pu avoir été chargés
de les kidnaper à Bruxelles pour les ramener de force à Djibouti,
afin de les utiliser ensuite comme otage.

Si elle est confirmée, la manoeuvre viserait à
l’évidence à obtenir que le Commandant IFTIN se rétracte
et à obtenir par la pression sur des innocents, ce qu’il n’aurait pas pu obtenir
en menaçant directement l’interessé et en tentant de le faire
assassiner à deux reprises en Ethiopie.

Nous savons que les enfants
des autres ne représentent pas une chose bien précieuse pour
le dictateur de Djibouti. On se souviendra de l’affaire des mineurs qui avaient
été incarcérés (et probablement soumis aux pires
sévices) dans la prison de Gabode avec les adultes …. sans que cela
n’émeuve une seconde le dictateur. C’est (entre autre) l’intervention
de Mme Nicole Fontaine, alors Présidente du Parlement européen,
qui avait déclenché leur libération, vers une destination
inconnue. Depuis nous n’avons jamais plus eu de nouvelles d’eux. Ont-ils été
‘liquidés’ pour éviter qu’ils ne parlent ? La question est posée

Après la brillante
démonstration de son innocence (à la TV djiboutienne) par les quatre Dalton : Goumaneh, Djama
Souleiman, Moumin Bahdon et Me Martinet,
on s’étonne que Guelleh ait
encore besoin de commettre l’irréparable pour faire revenir sur ses propos,
l’ancien chef de sa garde présidentielle. Cela semble inutile dans la mesure où son service de communication
s’est attaché à le dépeindre comme un être au profil psychologique
instable.

Ou bien il y a contradiction
ou bien Guelleh montre sa faiblesse et une nouvelle fois (comme il le fit devant les
journalistes français) et il exprime son sentiment de culpabilité.

Nous savons que le Commandant
IFTIN a averti les forces belges de Police et qu’il leur aurait donné le
nom (et le signalement ?) des hommes de main en charge du coup de force hypothétique contre ses enfants. Sur
ces bases, les autorités belges, à très haut niveau,
auraient mis en alerte la police et toutes les frontières Schengen auxquelles
elles auraient transmis un signalement précis des enfants.

Dans le sillage d’IOG,
trois hommes seraient particulièrement acharnés contre IFTIN.
Ce sont trois membres de la famille de son épouse :

Le Colonel Abdourahman
Ali Kahin de la FNP,


Daher Ismail Kahin dit Chideh « Maire de Djibouti »,
tous les deux sont des oncles de sa femme

plus Mohamed Moussa Tourtour,
le frère de son épouse.

On dit que ces trois hommes
auraient très peur de perdre la confiance du dictateur et donc leurs
positions enviables avec les privilèges assortis, s’ils ne parvenaient
pas à obtenir qu’IFTIN se rétracte. Jusqu’à présent,
ils ont échoué ! Alors pourrait-on en déduire que tous les moyens pourraient leur sembler
bon aujourd’hui, même en allant jusqu’au crime ?