04/02/03 (B183) « Le coeur a ses raisons, que la Raison ne connait pas » Blaise Pascal – Réponse de Mohamed Qayaad à Ariko – Fin de la discussion sur le sujet.

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Note de l’ARDHD

Selon nos règles
de fonctionnement, cette contribution est la dernière que nous publions
sur le sujet, afin de ne pas développer une polémique interminable
sur le sujet.

Bien entendu, les
auteurs concernés ont la possibilité de continuer à s’exprimer
sur des forums.
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Quand on en arrive à
un tel point d’aveuglement et de surdité volontaires, il est absurde
de penser que cela changera.

Il m’est permis quand
même de démontrer votre obsession exacerbée en me basant
uniquement sur vos écrits.

Votre désir de
revanche prouve votre bassesse, vous nous persuadez en voyant dans l’ambition, l’orgueil
ou la louange que le déguisement de vos appétits sont les plus
bas :égoisme, amour-propre, amour de soi..

Blessé (Ariko)
dans son amour-propre, il ne pouvait accepter l’idée d’être ridiculisé
aux yeux des internautes par un Med qayad et en fit une affaire d’honneur.

Ariko, que je qualifierai
de  » spadassin « , pour des raisons qui ne sont pas tout à
fait élucidées, a souvent tendance à tromper, duper, les
internautes non-avertis au profit de son ego – ce qui entraine la passivité, l’indifférence
de la populasse , voire son hostilité.

Ariko assimile le rêve
à la tentation, pour ne pas dire à la perdition.

Aussi sera-t-il tenté
sans cesse de fuir la rêverie, de faire taire ce vertigineux mirage en
lui – sans rendre compte, semble-t-il, que c’est la source elle-même qu’il
tarit ainsi – ce qui l’étouffe, plus encore que les déboires
et les échecs sans nombre de son existence dévastée, c’est
son aspect artif iciel, factice.

Il est bien une personne
déroutante qui cabriole entre les frondaisons et s’arrête, stupéfait
et angoissé au détour d’une strophe.

C’est ce paradoxe absolu
de sa condition qui fait à la fois son déséquilibre et
son mouvement.

Et comme pour échapper
à ce retour dérangeant du réel qu’incarne (l’opposant
DAF/DINI), Ariko se réfugie longuement dans une contemplation accusatrice
et narcissique, myope et muette qui, en excluant tout vrai contact et partage, déclenche
lui un énervement des sens et une exacerbation des fantasmes et obsessions.

Il me semble que c’est
une infinie détresse qui pousse Ariko dans l’œil de la société
spectacle, dans le fol espoir d’enfin exister.Comme dit l’adage faute de pouvoir
être , le paraitre fait bien l’affaire!

Nous revoila face à
ce paraitre vide et avide qui se donne en spectacle.

Ariko reste têtu, d’un
entêtement que le sourire finit par rendre plus irritant encore pour
ses interlocuteurs(trices).

Son intolérance
affichée, son impatience, ses vulgarités à ses contradicteurs
visent, en fait, un but précis et un seul:exposer ses inepties, ses stupidités, en
toute circonstance, à tout le monde, quoi qu’il arrive.

L’internaute est surpris
de voir par exemple son intolérance se traduire par des fausses couleurs
dont il veut couvrir sa mauvaise cause et l’ordure de sa pestilente ambition.

L’interrogation réflexive
sur Ariko évoque parfois celle de ces malades psychasthéniques
dont parlera Pierre Janet dans “l’automatisme psychologique”(1889),
malades qui, à force de se demander cent fois s’ils ont bien refermé
la porte derrière eux et de vérifier dans leur calepin l’adresse
à laquelle ils doivent se rendre , finissent par oublier le but de leur
sortie et par ne plus sortir du tout.
Freud, avec un regard plus humaniste, découvre que les troubles mentaux
d’Ariko ne sont pas forcément d’origine mécanique, mais
qu’ils peuvent avoir des causes purement psychologiques, être liés
aux rapports familiaux et sociaux.

Mais la vie en ocieté
exige qu’il(Ariko) doit refoulé ses pulsions et canalisé
son energie pour effectuer des taches plus civilisées , c’est ce
que Freud appelle la sublimation.
Dans ses écrits le bluff réside dans le c omment plutot que
dans le quoi.On peut d’ores et déjà comprendre l’idée
de <>chez le sergent on ne pourra
se rapporter à l’absolu que de facon absolue.

C’est dire que ce
rapport ne pourra se vivre que par la passion et non par l’intelligence.

Si on ne vit que par l’entendement, on
ne vit que d’une facon relative, dans un monde de calcul, dans un monde
d’avantages et de désavantages scrupuleusement pesés.

Il en effet veut désesperement
être lui-même ou ne pas être lui-même.

Dans sa fureur démoniaque, par
haine de l’existence de l’opposant, il veut être lui-même
dans toute son horreur et protester ainsi contre son ego. Parfois encore il
sort de lui-même, se perd dans le divertissement et la fantaisie et ne
veut plus se reconnaitre.
Dans les 2 cas, qu’il se cherche ou se fuit, c’est qu’il ne se
possède pas et ne s’est pas encore choisi.

Les gestes d’altruisme
ne sont souvent que des actions égoistes déguisées.Il
s’agit donc pour la conscience de se trouver un critère de moralité
pour qu’apparaisse l’amour

Cela demande un impossible
sacrifice: celui de soi-même.

Certes, Erasme (1511)
dans son »Eloge de la folie »nous (les humains) offre une critique
non déguisée des hommes et de leurs faiblesses. Il ne cherche
en effet pas à fustiger les hommes, mais bien plutot à les amuser
en leur montrant leurs travers par le biais d’une farce satirique et comique.

Ainsi, il peut instruire
et conseiller avec malice et facétie, beaucoup mieux que ne le ferait
un long discours grave et pompeux. D’ailleurs, Erasme peut toujours rétorquer
aux critiques que c’est la folie et non lui qui parle ici , et que ceux qui
se sentent blessés par ses critiques sont ceux qui se sentent coupables
des vérités qui s’y disent.(Etrange similitude Ariko)

Ce qui nous (internautes)
importe.c’est l’estime des autres, et cela au mépris de la vérité
sur vous-même, car il vous faut sans cesse mentir pour l’obtenir. Et
si Ariko ment, c’est pour éviter le spectacle de sa propre vérité:
vous êtes petit, imparfait, misérable…d’ou  » une haine
mortelle contre cette vérité […..]inséparable de l’amour-propre »
(Pensées 100).

Vous tentez de nous tourner
vers l’ignorance, la haine, le mépris d’autrui, et de placer votre arrogance
dans la déraison (la folie). Votre idéal et votre fierté
seraient alors une science purement a-démonstrative, partant de définitions
confuses et apportant des preuves réfutables.

Votre obsession nous pousse
à admettre des notions non-définies, des axiomes non-prouvés.De
sorte que votre certitude démodée repose sur une évidence
qui ne doit rien à la raison mais qui vient de votre instinct ou plutot
de votre inconscient.

Comment être fière
de savoir ce que vous n’avez pas démontré ? Je vous cite « Lorsque
j’affirme que DAF a été acheté et que Dini n’est que
l’instrument du pouvoir, Cher Monsieur, je me fonde non seulement sur leurs
déclarations mais aussi sur des témoignages dont je n’ai pas
à communiquer ni les sources ni la teneur, pour me justifier »

-de quelles déclarations et de quels témoins parlez-vous ? Est-ce
vos preuves ? ou vous le dites parce que c’est comme cela que les choses se
passent. Ou est-ce votre manière d’entretenir l’opacité de l’information
dont l’affabulateur ne serait autre que vous-même.

Vos critiques sont des
déguisement de vos intérets égoistes, votre séduction
(voir votre message à Jean Paul Noel) n’est en fait que le travestement
de votre force brute en vulgarité. Votre <>
(cf votre réponse à Med Qayad) devient <>
et vous ne songez plus désormais qu’ à vous rendre supérieure
aux autres.

Or, pour vous affirmer
comme une personne normale, il faut avoir la reconnaissance des autres.Comment
? En la lui imposant par la possession…(les internautes ne sont pas aussi
naifs que vous le pensez). Cela doit répondre à vos besoins
jusqu’au désir illimité.Pourquoi illimité ? parce qu’on
n’est jamais certains sergent Ariko de la reconnaissance des autres.

Vos accusations, vos calomnies
envers DAF pire le mensonge artiste, s’entend, qui crée l’illusion nous
permettant de supporter la vérité.

Vos fantasmes sont satisfaits
que par le mensonge, la duperie…

Cela suppose un autre
aspect:la cruauté, à la fois envers vous-même et envers
les autres. Elle consiste à détruire le sens allant de soi, c’est
à dire les interprêtations dominantes que vous faites par paresse
d’en créer de nouvelles, et à imposer votre interprêtation, c’est
à dire votre propre vision aux autres.Comprendre est une chose, l’interprêter
en est une autre.

On voit donc l’erreur
ce serait que de nous, les internautes représenter votre obsession, comme
une émergence progressive vers la lumière de la pure raison.
Ariko a revêtu, d’emblée, la forme la plus subtile, celle qui consiste
à tout emprunter à l’adversaire, sauf précisement ce qu’il
y a de plus périlleux pour soi, à tout accepter du contradicteur
sauf précisement ce qui devrait vous inciter à vous taire.

Faudra-t-il se limiter
à la simple reproduction et prétendue<< compréhension interne>> de cet imposteur « vision de l’opposant » irréductible, sans
pouvoir s’appuyer sur une autre conception du droit, du pouvoir, de l’Etat et
de l’humain ? Ne risque-t-on pas de tomber dans un « soli psisme »
d’un type particulier, qui ne privilegierait que le <>
les représentations « acheté » et « manipulé », les
catégories pratiques, les langages explicites, les idéologies
?

On peut aboutir là
à une incompréhension, à une incommunication totale d’un
système de signification à l’autre. En fait , il n’y a pas de
lien réel entre, d’une part, ces opposants DAF/DINI dont Ariko fait allusion
et d’autre part, ces marionnettes Aden /Moumin /Gabayo /Me Aref au main du
despote mafieux IOG.

Le lien présumé
n’existe que dans le discours polémique de ceux qui veulent précisement, illusionner
ladit opposition en les nommant artificiellement respon sables.
Le dérapag sémantique permet souvent cependant, d’assimiler-verbalement-les
deux démarches et de signifier systématiquement cette analogie
dans un discours biaisé.

Quelle qu’en soit la traduction
véridique, cette multitude de formulations ne convient-elle pas à
merveille à la postérité bariolée du vieux dictateur
H/G?

Reste à savoir
dans quel sens il faut entendre cette fonction.

Quel but IOG leur assigne-t-il?Quelle
méthode suit-il pour atteindre ce but?Quel est le contenu de leur poste
de responsabilité tel qu’il réside de l’application de cette
méthode ? Qu’en est-il de la réalité djiboutienne ?

Certe, leur pouvoir de
décision est confisqué et leur seule ressource est de s’aligner
sur la position du président parrain IOG. Ce qu’ils accomplissent avec
beaucoup de célérité.

En effet, ce sont ces chalartans
qui deviennent les instruments au main du délinquant terroriste IOG.
Même, si pour sauver les apparences IOG met les formes, en présentant
une facade de gentleman’s agreement pour mieux leurrer ladit opposition.
Ce système dictatorial et mafieux est complètement verrouillé
afin d’empêcher toute remise en cause de la présence du despote
au pouvoir.

Un véritable système
repoussoir que tout djiboutien lucide assim ile à l’arbitraire et qu’il
voit exclusivement reposer sur la crainte, la peur.

L’obéédiate
et sans réserve.

Le président mafieux
s’arroge à peu près toute prérogative, décidant
seul sans formalisme excessif (ce n’est pas le premier des ministres qui viendra
me contredire).
Pour consolider les allégeances et stimuler le loyalisme de ses soutiens, il
distribue discrétionnairement promotions, privilèges et prébendes, dont
Ariko a su en profiter dans une époque peu glorieuse de son passé.(30
millions détournés pendant la guerre du frud/gvt dj).

Symptome révélateur
de la confusion entretenue entre la sphère étatique et la sphère
privée, ses sbires s’enrichissent en général de facon
tout à fait considérable.

C’est tout un symbole. Il faut savoir l’interprêter, car c’est là que réside
la clé de l’énigme.

Votre raison infime, mutilée
est en train de vous assassiner, il faudrait l’obliger à réfléchir
sur les fins et sur les sens afin de l’empêcher de rester la servante
d’une vie qui serait « la passion inutile » de Sartre.

Devant tant de malheur
! Ariko préfère assener des pseudo vérités indiscutables
afin de mieux enfermer ceux qui les discutaient dans la posture de polémistes
au coeur de pierre.

Soyons capables de dominer
nos pulsions par la raison et la volonté.
Un être qui se laisse gouverner par son ego n’est pas libre.

Et pour conclure, je vous
laisse méditer , un des passages les plus cyniques du manuel de campagne
electorale rédigé par Quintas Ciceron ( le frère du fameux
Ciceron) souligne la nécessité de dévélopper  »
le sens de la flatterie, vice ignoble en toute autre circonstance, mais qui, dans
une campagne, devient qualité indispensable […] obligatoire pour un
candidat dont le front, le visage et les discours doivent changer et s’adapter, selon
ses idées et ses sentiments, à l’interlocuteur du moment ».

Mohamed
Qayaad