03/08/04 (B258) Appel aux Autorités belges, françaises et hollandaises, pour qu’elle traite avec le maximum de précaution, le dossier d’un ancien Officier de Police qui a commis plus que des irrégularités lorsqu’il était en fonction à Djibouti et qui ne pourrait pas prétendre à un statut de réfugié. (Lecteur attentif)

C’est dans la plus grande
précipitation que l’ancien Vendeur présumé de Passeports
djiboutiens envisagerait de quitter Londres.

Il se pourrait que les
interventions des Djiboutiens réfugiés en Angleterre, via le
site de l’ARDHD et auprès des responsables britanniques de l’ Immigration
sur la situation et le passé de cet Officier de Police l’ait un peu
affolé et déterminé à aller porter sa demande
d’asile ailleurs …

Rappelons qu’il pourrait
bien être le responsable de l’afflux massif des demandeurs d’asile d’origine
somalienne que l’on a connu à Djibouti.

L’Officier en question
se nomme IDRISS D… G…. On dit qu’il chercherait maintenant à installer
sa famille soit en Belgique soit aux Pays-Bas.

Il espère toujours
que le petit réseau de réfugiés somaliens qu’il aurait
constitué, grâce aux Passeports djiboutiens (qu’il leur a vendu)
et qui sont éparpillés dans les principales capitales Européennes,
va venir à son secours.

Qu’il ne se fasse pas
trop d’illusion quand même ! La communication, grâce à
Internet, est plus rapide que le voyageur et il ne fait aucun doute que la
communauté djiboutienne dans son ensemble, ne le perdra plus de vue.

Je lance un appel urgent
aux Services de l’Immigration à Paris, Bruxelles et Amsterdam, pour
qu’elles contrôlent cet officier de police qui aurait pu avoir été
malhonnête et qui pourrait être le chef d’un réseau de
réfugiés somaliens dont les objectifs pourraient ne pas être
conformes avec la légalité. Je crains qu’ils ne puissent constituer
une source d’insécurité/ de danger en Europe .

D’autres sources d’information
(à confirmer) en provenance de Djibouti, cette fois, évoqueraient
l’ouverture d’une enquête locale sur la vente "comme des petits
pains" des Passeports djiboutiens. Cette activité aurait pu avoir
été le fond de commerce de ce même Officier, sur place
et pendant des années.

La complicité du
Directeur général de la Police nationale Hassan Djama Guedi,
proche de notre officier, pourrait-elle être établie à
cette occasion ? Seule l’enquête pourra le dire !

Nous recommandons aux
Ministres de l’Intérieur des trois pays cités ci-dessus, de
donner des consignes de vigilance face à cet ancien responsable et
à son réseau.

Un
lecteur attentif.