30/08/04 (B261) Une situation de tous les risques à Djibouti (Lecteur)

Le
Peuple djiboutien sombre dans la douleur et dans la misère. Le chomage
tue les djiboutiennes(ens). Le peuple gronde mais il a encore peur de se soulever
contre le dictateur Ethiopien (falasha) IOG.

Mais
un jour, il peut y avoir un déclic salutaire. Ce jour-là, la peur
pourrait se transformer en rage. Non seulememt IOG mais aussi toute sa clique,
voire sa tribu, paieront le prix.

Regardons
l’histoire (le Rwanda, le Liberia, la Somalie, l’Ethiopie).

Immanquablement,
la rage pourrait rendre les Djiboutiens (d’ordinaire si pacifistes) aveugles et
nous devons envisager la possibilité d’une action de force contre Ismaël
Omar Guelleh et ses proches. Il est à craindre alors que la fureur n’épargne
pas non plus la tribu des Mamassane.

Le
grand MAO (le chinois) avait dit : Il n’y a pas de révolution dans la douceur.
Mes frères patriotes, la revolution semble se rapprocher, car le pays est
au bord du gouffre.

Et
je me permettrai de donner un dernier conseil à IOG : avant que l’hécatombe
n’arrive, il faut mieux quitter le pouvoir au plus vite. Plus aucun Djiboutien
ne t’admire ni te respecte. Même ton entourage et les gens de ta tribu savent
que ta politique ne ménera nulle part, sauf dans le mur : mais ils ont
la peur au ventre. L’assassinat de Garafe, l’ex-agent de la SDS est un exemple
pour eux.

Avec
l’aide de Dieu, Djibouti redeviendra Djibouti et non plus le pays d’Ismaël
et de ses proches. Si Guelleh ne se retire pas pendant qu’il en est encore temps
pour lui, on peut craindre que le combat ne soit proche et malheureusement inéluctable.

N’oublions
pas que les révolutions viennent le plus souvent de l’extérieur.

CHE
GUEVARA
un jeune enragé