01/02/05 (B283A) Des signes qui ne trompent pas ! (Lecteur)

D’abord, je tenais à
vous dire que les coopérants qui ont été renvoyés
par IOG, étaient des conseillers utiles qui apportaient une expertise
sérieuse à l’Administration djiboutienne, en particulier pour
la rédaction des discours, l’écriture de textes, comme des decrets
et d’autres actes.

Autrefois, il suffisait d’écouter la Radio pour savoir si le FRUD avait
lancé une attaque !

Dès que l’on entendait
les chants de la troupe Harbi – c’était un signe infaillible !

Savez-vous que je viens
de les entendre de nouveau aujourd’hui ?

J’ai tout de suite compris
que l’affaire Borrel avait rebondi et que la Justice française devait
avoir fait un acte ou une déclaration.

C’est pas plus compliqué
!

IOG ne sait vraiment plus quoi faire, pour éviter que la justice française
ne le poursuive. Pourrait-il être contraint de mettre en oeuvre, ce
que je considère, comme son plan d’urgence ? Après tout la disparition
du trio ne résoudrait-elle pas son problème en grande partie
? (Hassan Madobeh, Djama Dhago et Mahdi Cresy).

Ce qui aurait pu être
arrivé à Grave, de la SDS près du cimetière de
Djibouti, a suscité bien des questions sur les plans d’urgence de Guelleh.

Allons, ne sombrons pas
dans la délation et surtout ne portons pas d’accusation sans preuve.
Pour le moment, je vous rassure, tout ce petit monde se porte bien et trinque
à la santé du Ministre français des Affaires étrangères français
qui s’est excusé officiellement (La Nation) et qui a confirmé
que la convocation est nulle et non avenue, parce qu’elle n’avait pas été
envoyée avec le bon affranchissement !!!