12/06/05 (B302) Que s’est-il vraiment passé à Paris, lors de la visite écourtée de Guelleh, suite à sa convocation par la Justice française ? L’attitude franchement anit-française de Guelleh (D’un lecteur djiboutien que nous félicitons vivement pour cette remarquable compilation)

Que c’est-il passé réellement à Paris lors de la visite de Guelleh?

Il y a une année de cela lorsque des documents classés secrets défense ont été remis à la justice française. Guelleh a réagi violement en accusant la France d’essayer de déstabiliser Djibouti. En plus des attaques envers la France et le président Chirac, il avait organisé des manifestations contre la France et des graffitis haineux ont été écrits sur les murs de l’ambassade de France. Dans un article paru sur la nation on traitait le président français de raciste.

Prisonnier de ses mensonges, de ses crimes, de ses haines et de la défense de ses intérêts personnels, à la petite semaine, Guelleh, qui a essayé sans succès plusieurs stratégies de défense totalement inefficaces, semble incapable de reprendre le dessus, en dépit d’un soutien abusif de la part de Chirac et du Quai d’Orsay.

Retour en arrière (depuis 1999) sur cette comédie à la Guelleh, pleine de gesticulations déraisonnables, de rebondissements, jusqu’à l’échec total dans les prochains mois, avec au final des inculpations inévitables …

Titre de la comédie
« Que c’est-il passé réellement à Paris lors de la visite de Guelleh ? »

ACTE 1 – 1995
19 octobre : le corps à demi-carbonisé du juge Bernard Borrel est retrouvé à Djibouti, près du Goubet …

ACTE 2 – 1999
Avril

  • Guelleh s’auto-proclame Président de la République. Pour assurer sa victoire, il avait
    • fait incarcérer Me AREF, candidat possible (Cet avocat s’est rallié à Guelleh ensuite)
    • fait investir brutalement la maison de Moussa Idriss, investi par l’ensemble de l’opposition (plusieurs blessés et morts de son entourage).
  • Chirac félicite Guelleh et l’Armée de l’air française envoie deux avions, le soir même de l’élection, pour faire des pirouettes au-dessus de la maison de Guelleh : ce point sera évoqué devant l’Assemblée nationale française, qui n’appréciera pas vraiment, l’initiative des aviateurs …

Mai

  • Les députés européens condamnent solennellement les atteintes aux droits de l’Homme.
  • Guelleh se précipite, le 25 mai 1999, pour se faire « adouber » par Chirac, ce qui provoque une levée de boucliers dans l’opinion et la presse françaises. Premiers signes de son comportement anti-français : en réaction, il critique l’attitude de la France dans Le Figaro (« Le nouveau président djiboutien Ismaël Omar Guelleh, qui a entamé mardi une visite officielle de trois jours en France, critique ce qu’il considère comme l’appui apporté par le gouvernement français aux opposants djiboutiens, dans une interview au quotidien Le Figaro)

ACTE 3 – 2002
Octobre

  • Guelleh fait un nouveau voyage à Paris et il donne une conférence de Presse.
  • Les avocats de Mme Borrel demande à la justice de saisir l’occasion de son voyage pour l’entendre dans le cadre de la disparition du Juge.
  • Lors de la conférence de Presse, Guelleh s’emporte contre les journalistes de Canal + et il fuit la salle en pleine réunion

ACTE 4 – 2004

  • Guelleh adopte une attitude franchement anti-française
  • En avril 2004, lorsque des documents classés secrets défense sont remis à la justice française, Guelleh réagi violement en accusant la France d’essayer de déstabiliser Djibouti. Il multiplie les attaques envers la France et le président Chirac.
  • Il fait organiser des manifestations contre la France et fait inscrire des graffitis haineux sur les murs de l’ambassade de France. Dans un article paru sur La Nation on traite le président Chirac de raciste.

Documentation :

Article sur La Nation le lundi 19 Avril 2004 à 11H00

Affaire Borel – La vérité Nazie……….
 » La France n’a pas d’amis ; elle n’a que des intérêts « . On connaît l’équation de la françafrique qui a été vérifiée en mille lieux. Le dernier en date, le Rwanda où la complicité française dans le génocide est plus qu’avérée.  » Dans ces pays un génocide n’est jamais de trop  » c’est un président français (Mitterrand) en personne qui commentait, du haut de son mépris pour les africains, le génocide rwandais.
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Se déclarant vainqueur des élections présidentielles, boycottées largement par la majorité des électeurs.

Guelleh a voulu jouer cette fois, la carte américaine en se rendant d’abord aux Etats Unis. Bush ayant refusé de le rencontrer et déçu de l’accueil que les américains lui ont réservé. Guelleh est accueilli en france par une convocation de la juge clément pour comparaître comme témoin dans l’affaire Borrel. Il refuse de répondre aux questions des journalistes sur l’affaire Borrel, par contre Chirac a indiqué que la justice souhaitait accélérer l’instruction sur la mort du juge Borrel. L’affaire se retrouve subitement à la une des journaux français et partout dans le monde.

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Déclaration du Quai d’orsay
«le parquet demandait au juge d’instruction de mener (l’instruction) qui se prolonge depuis maintenant dix ans, dans les meilleurs délais»
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De retour à son palais de l’escale Guelleh garde le silence pendant deux jours avant de faire une déclaration sur l’affaire Borrel. Contrairement à l’année dernière où il s’en ait pris au gouvernement français et le président Chirac, il accuse maintenant le média français et certains milieux judiciaires de comploter contre lui. Rappelons qu’il a expulsé 6 coopérants français et fermé l’antenne de RFI à cause de cette même affaire.

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Communiqué de la Présidence de Djibouti

Comme suite à la couverture médiatique de l’Affaire Borrel par certains médias français à l’occasion de la Visite du Chef de l’Etat en France, la Présidence de la République a publié le communiqué de presse suivant.

La République de Djibouti déplore le traitement médiatique tendancieux, que ne cesse de susciter l’affaire Borel de la part de certains médias Français. En effet, nous constatons avec étonnement que, depuis 10 ans que l’instruction judiciaire de  » cette affaire  » perdure, il ne se passe pas une occasion sans qu’une certaine médiatisation, qui relève du registre spectaculaire qu’informatif, essaie de jeter le discrédit sur les relations entre les deux pays.

Nous constatons également avec étonnement que le connivence manifeste entre certains médias français et certain milieu judiciaire s’efforce de fabriquer  » une opinion médiatique  » au mépris des règles déontologiques respectives. Nous restons persuadés qu’une telle dérive médiatique ne facilite pas la manifestation de la vérité sur les circonstances exactes de la mort du juge Borel. Les gesticulations et les tribunes médiatiques qui exhibent ces gesticulations se trompent de procès.

Nous regrettons que, faute d’éléments matériels probants, les juges et les avocats de la partie civile s’obstinent à prouver un complot politique et une affaire d’Etat, faisant ainsi preuve de leur incapacité.

Pour notre part, nous rappelons que jusqu’à maintenant les autorités djiboutiennes ont offert toutes les facilités à la justice en charge du dossier. C’est pourquoi nous demandons à ce que l’instruction aboutisse dans les meilleurs délais.

Enfin nous précisons que cette affaire n’a jamais été l’occasion d’une quelconque tension entre les deux pays qui entretiennent des liens historiques fraternels et amicaux et, partagent un ensemble de valeurs universelles.

La Présidence de la République
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Guelleh n’a pas fait organiser de manifestations contre la France ni d’attaque médiatique alors qu’il est personnellement sollicité par la justice française.

Voilà qu’il change de discours, Chirac n’est plus raciste, mais il est l’ami des africains et arabo-islamique. Pourquoi il a cité le monde arabo-islamique dans son interview ? Il essaie sûrement de contredire des propos qu’il a tenus dans le monde arabe à l’encontre de la France et de Chirac.

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Interview de Guelleh dans l’ADI

« Je partage avec Chirac des relations d’amitiés profondes et des valeurs qui nous permettent de barrer les routes à toutes les vaines tentatives pour jeter le discrédit dans les bonnes relations Djibouto-française » dixit le Président de la République.

DJIBOUTI (ADI) 20 Mai – Le Président de la République, M.Ismaïl Omar Guelleh, qui a été interrogé par notre confrère de la RTD, Mohamed Daher est largement revenu sur sa tournée d’une semaine du(08 au 17 mai) qui a débuté par le Brésil et Paris en passant par Washington

Ainsi, le Chef de l’Etat qui a qualifié de fructueuses ses rencontres avec les dirigeants qu’il a pu rencontrer, s’est particulièrement félicité de sa rencontre avec son homologue français, M.J.Chirac

Selon lui, « le Président Chirac est un grand ami du monde Africain et arabo-islamique et je partage avec lui des relations d’amitiés profondes et des valeurs qui nous permettent de barrer les routes à toutes les vaines tentatives pour jeter le discrédit dans les bonnes relations Djibouto-française »

M.Ismaïl Omar Guelleh, a par ailleurs expliqué que les liens avec la France sont solides et indéterminables.

En ce qui concerne la formation du nouveau gouvernement, monsieur Ismail Omar Guelleh a dit que le peuple Djiboutien lui ayant accordé la confiance pour un second mandat la formation du nouveau gouvernement n’est plus qu’une formalité.

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Guelleh découvre, finalement que la manière forte ne le menait nulle part alors il essaye de minimiser les dégâts causés par ses sautes d’humeur.

Lorsque le président Chirac déclare qu’il faut accélérer l’instruction sur la mort du juge, ce message s’adresse à monsieur Ismail Omar Guelleh. Il est clair aujourd’hui que guelleh et son entourage font tout pour éviter la justice française. S’il n’a rien à se reprocher comme il le clame souvent, s’il vous plaît épargnez cette longue attente à la veuve et les enfants du défunt

Votre ami Chirac vient de vous donner une bonne leçon de diplomatie internationale, tout en étouffant l’affaire (censures) pour des raisons d’État et en faisant semblant de vous défendre avec l’immunité diplomatique dont vous bénéficie avec votre titre de président en exercice . Il vient de vous convoquer devant la justice française.Vous paraissez aux yeux de tout le monde comme un criminel qui fuit la justice. Il vous a fait payer votre insolence tout en étant votre Ami.

Guelleh croyait intimider Chirac en faisant un chantage avec la présence américaine. Comme tout pays qui se respecte le gouvernement français a déjà envisager le retrait de ses troupes, il n’ont pas besoin d’une boule de cristal pour deviner que votre dernier recours est la demande pure simple à l’armée française de quitter le territoire djiboutien.

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Les Articles de référence

« Je partage avec Chirac des relations d’amitiés profondes et des valeurs qui nous permettent de barrer les routes à toutes les vaines tentatives pour jeter le discrédit dans les bonnes relations Djibouto-française » dixit le Président de la République.

DJIBOUTI (ADI) 20 Mai – Le Président de la République, M.Ismaïl Omar Guelleh, qui a été interrogé par notre confrère de la RTD, Mohamed Daher est largement revenu sur sa tournée d’une semaine du(08 au 17 mai) qui a débuté par le Brésil et Paris en passant par Washington

Ainsi, le Chef de l’Etat qui a qualifié de fructueuses ses rencontres avec les dirigeants qu’il a pu rencontrer, s’est particulièrement félicité de sa rencontre avec son homologue français, M.J.Chirac

Selon lui, « le Président Chirac est un grand ami du monde Africain et arabo-islamique et je partage avec lui des relations d’amitiés profondes et des valeurs qui nous permettent de barrer les routes à toutes les vaines tentatives pour jeter le discrédit dans les bonnes relations Djibouto-française »

M.Ismaïl Omar Guelleh, a par ailleurs expliqué que les liens avec la France sont solides et indéterminables.

En ce qui concerne la formation du nouveau gouvernement, Monsieur Ismail Omar Guelleh a dit que le peuple Djiboutien lui ayant accordé la confiance pour un second mandat la formation du nouveau gouvernement n’est plus qu’une formalité.

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Affaire Borrel – Communiqué de presse

Suite à la couverture médiatique de l’Affaire Borrel par certains médias français à l’occasion de la Visite du Chef de l’Etat en France, la Présidence de la République a publié le communiqué de presse suivant.

La République de Djibouti déplore le traitement médiatique tendancieux, que ne cesse de susciter l’affaire Borel de la part de certains médias Français. En effet, nous constatons avec étonnement que, depuis 10 ans que l’instruction judiciaire de  » cette affaire  » perdure, il ne se passe pas une occasion sans qu’une certaine médiatisation, qui relève du registre spectaculaire qu’informatif, essaie de jeter le discrédit sur les relations entre les deux pays.

Nous constatons également avec étonnement que le connivence manifeste entre certains médias français et certain milieu judiciaire s’efforce de fabriquer  » une opinion médiatique  » au mépris des règles déontologiques respectives. Nous restons persuadés qu’une telle dérive médiatique ne facilite pas la manifestation de la vérité sur les circonstances exactes de la mort du juge Borel. Les gesticulations et les tribunes médiatiques qui exhibent ces gesticulations se trompent de procès.

Nous regrettons que, faute d’éléments matériels probants, les juges et les avocats de la partie civile s’obstinent à prouver un complot politique et une affaire d’Etat, faisant ainsi preuve de leur incapacité.

Pour notre part, nous rappelons que jusqu’à maintenant les autorités djiboutiennes ont offert toutes les facilités à la justice en charge du dossier. C’est pourquoi nous demandons à ce que l’instruction aboutisse dans les meilleurs délais.

Enfin nous précisons que cette affaire n’a jamais été l’occasion d’une quelconque tension entre les deux pays qui entretiennent des liens historiques fraternels et amicaux et, partagent un ensemble de valeurs universelles.

La Présidence de la République

Mis à jour le Lundi 19 Avril 2004 à 11H00
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Affaire Borel – La vérité Nazie

Répétez un mensonge mille fois, il devient vérité « . Ce propos qu’on prête au théoricien de la propagande nazi sert de bréviaire à tous ceux qui veulent en fabriquer une. On connaît les conséquences tragiques de la vérité nazie.

Décidément l’histoire n’a pas été retenue et on continue de manipuler les opinions. Pour la France la mort du juge Borel sert d’alibi pour fabriquer à longueur du temps cette fameuse  » vérité Nazie « .

En effet, par l’intermédiaire des Canards déchaînés, l’Etat français se plait à donner la direction qu’elle veut, au gré des enjeux stratégiques, à la mort du magistrat. Un coup, c’est le suicide, un coup  » c’est l’assassinat politique perpétré par les plus grands responsables de Djibouti.

 » La France n’a pas d’amis ; elle n’a que des intérêts « . On connaît l’équation de la françafrique qui a été éprouvé en mille lieux. Le dernier en date, le Rwanda où la complicité française dans le génocide est plus qu’avérée.  » Dans ces pays un génocide n’est jamais de trop  » c’est un président Français en personne qui commentait, du haut de son mépris pour les africains, le génocide rwandais.

Lorsque le pré carré se réduit comme peau de chagrin, Paris n’ a pas d’autres solutions que de mettre le feu aux poudres.

Diviser pour régner, régner pour dominer pour mépriser et dévaloriser.

 » L’amitié française  » est ainsi faite. Elle ne tolère aucune souveraineté et aucune indépendance. Avec la prétendue affaire Borrel, qu’on fait traîner à dessein depuis dix ans, la France veut prendre en otage un Etat souverain qui a les mêmes prérogatives et la même légitimité au niveau des instances mondiales. En réalité  » nos amis français  » aigris par la présence américaine se livre à un chantage incompréhensible..

Il est clair aussi que le fait que des entreprises américaines aient raflées des marchés dans le cadre du projet Doraleh ait énervé la France. Il est claire pour tout le monde qu’à un an des échéances électorales la France exhibe de nouveau le cadavre de Borrel dans le but de discréditer et d’intimider. Mais peu importe, Djibouti est un pays souverain et entend le rester pleinement. Le Président Guelleh a été élu par les citoyens Djiboutiens et non par l’opinion Française.

M.A.H

Mis à jour le Lundi 19 Avril 2004 à 11H00
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Communiqué – La République de Djibouti n’entend pas se laisser déstabiliser

Déstabiliser Djibouti, tel est le sombre dessein que poursuit la France à travers l’Affaire Borel. Le communiqué de la présidence qui nous est parvenu mardi dernier est sans équivoque. La France tire les ficelles dans cette affaire et sa volonté de nuire est apparue au grand jour. Ces grossières manipulations, ces campagnes médiatiques outrageuses à l’encontre de la République de Djibouti et de son Président,  » portent  » selon ce communiqué, les traces indélébiles d’une vaste manipulation étatique.

“Si, hier, les observateurs éprouvaient quelque difficulté à comprendre la signification politique et les motivations sous-jacentes au martèlement médiatique dont fait l’objet l’affaire Borrel et les accusations dirigées contre la République de Djibouti et son Président, il apparaît aujourd’hui au grand jour, que l’Etat français poursuit un seul et unique objectif : la déstabilisation d’un pays.

En effet, comment expliquer autrement qu’à partir d’une note d’information rédigée par un agent de renseignement de la DGSE et rendue à la suite de la décision de la levée du secret défense relatif au décès du juge Bernard Borrel, l’on puisse conclure hâtivement qu’il s’agissait d’un assassinat politique.

Convaincue qu’il serait utile pour toutes les parties de mettre définitivement fin aux polémiques absconses, Djibouti avait pris l’initiative le 16 décembre 2003 de demander aux autorités françaises de lever le secret sur cette affaire. Une réponse favorable lui est parvenue le 10 mars 2004. Mais c’était sans compter sur le pouvoir de manipulation et la volonté de nuire du Gouvernement français. Ce dernier, spécialiste des récupérations tardives, peu enclin à la recherche du vrai enclenche de nouveau une campagne médiatique en mettant à contribution ses organes de propagande, RFI et TFI, qui répètent hypnotiquement un seul et même message : l’assassinat du juge Borrel ne fait plus aucun doute ; C’est le Président Guelleh et son entourage qui en sont les responsables.

C’est ainsi, que dans un enchaînement mal assuré, incohérent à souhait et qui porte les traces indélébiles d’une manipulation étatique, il se réfère aux attentats du Café de Paris de 1990. Faut-il rappeler ici qu’à la date où le Juge Borrel avait été détaché à Djibouti, l’affaire du Café de Paris avait déjà été jugée, les auteurs condamnés et le dossier clos.

Il est permis de supposer donc que si le Président Ismail Omar Guelleh gêne la France, c’est parce qu’il s’est toujours posé à ses interlocuteurs comme un dirigeant qui a veillé à la promotion de l’intérêt national. Il est celui qui a su mettre en échec la stratégie de partition du pays conçue et développée par la France. Une stratégie qui a malheureusement connu un relatif succès dans d’autres zones géographiques en Afrique entraînant un lot de souffrances indicibles et de misères innommables.

Pour qui sait déchiffrer le discours politique français, la présence américaine à Djibouti, explique également cette volonté obstinée de nuire à l’image de Djibouti et de son Président.

Mais c’est dans l’exercice de son droit légitime à la souveraineté que Djibouti établit des accords d’amitié et de coopération avec les pays avec lesquels elle partage des valeurs communes !

Djibouti est déterminée à forger sa destinée propre. Le peuple djiboutien, conscient des enjeux, soutient le Président et son Gouvernement dans la poursuite des objectifs de développement.”