25/06/05 (B304) Réaction au projet de statut de Djibouti-Ville (lecteur)

Dans le document du statut, il est noté que la ville est partagée en trois communes, mais je ne comprend pas dans quelle commune se trouvent les quartiers « résidentiels » à savoir Aviation, Gabode, Plateau, etc. . . . , ainsi que le quartier commercial.


 


Secundo et c’est là le plus épineux : j’ai bien peur que la sectorisation géographique ne se transforme en sectorisation tribale.

A titre d’exemple, nous voyons le statut d’associations de quartier perverti dans ce sens au vu et au su de tous où des femmes habitant à l’autre extrémité de la ville et avec l’appui des responsables politiques dont elle défendent les intêrets, prennent le nom d’association d’un autre quartier qu’elle n’habitent pas et qu’elle n’ont jamais habitées.

Il en est de même pour les responsables des annexes des partis qui sont nommés dans un quartier dont ils ne connaissent rien et n’hésitent pas à y organiser des réunions tribales. Entre d’une part les vrais habitants toutes tribues confondues et donc représentants légitimes de leur quartiers et de l’autre des extra terrestres débarquant  et usurpant dans une totale illégalité ce que pourtant leur légitime leurs parrains.

Alors habiter dans la commune devrait être un critère à préciser même s’il parait évident au citoyen de bonne foi et à défendre à tout prix, sans quoi on est parti pour signer des chèques en blanc à des représentants ne repésentants que ceux-là sans scrupule et qui n’hésiteront pas à utiliser les moyens nécéssaires pour acheter les innocents.