17/07/05 (B307) Radio-Trottoir : Mohamed Moussa Chehem négocie les conditions de son départ à la retraite, tandis que Dileita doit assumer le renvoi de son rejeton de l’école … (Lecteur)

L’Ambassadeur de Djibouti auprès du royaume de Belgique, n’est pas au bout de ses peines pour parvenir à ses fins. Le doyen des diplomates est sur la liste des départs à la retraite depuis Janvier 2005. Malgré les efforts conjugués du Premier Ministre Dileta Mohamed Dileita et son Chef de Cabinet ( beau-frère de l’Ambassadeur ), Mohamed Moussa Chehem et son épouse, son maintenus sur la liste des futurs retraités.

Les interventions menées inlassablement depuis plusieurs mois par Dileita en faveur de son parent Moussa, se sont soldées par un échec cuisant.

En guise de lot de consolation et à défaut de n’avoir pas pu continuer son sale boulot qui consiste à nuire, toujours nuire et encore nuire aux uns et aux autres , il négocie avec le Ministère de l’Emploi et de la Solidarité Nationale (La Fonction Publique) son départ à la retraite, dans les meilleures conditions.

Selon, des sources fiables, Dileita serait à Bruxelles chez Mohamed Moussa Chehem, pour lui faire part des difficultés qu’il rencontre à faire évoluer positivement les deux dossiers, ôh combien difficile à traiter en raison de la complexité des relation que le vieux diplomate entretien avec les différents responsables concernés.

Pour sa part, Dileita dissimule de moins en moins, son impuissance face à des hauts fonctionnaires considérés proches du Palais, pour solutionner certains problèmes aussi simples, soient-ils.

Par ailleurs, l’image du Premier Ministre de Djibouti, serait à nouveau émaillée par un incident à première vue, des plus banales. En effet, le fils du numéro deux djiboutien serait renvoyé de l’école, pour le vol d’un téléphone portable.

Toutefois, ces informations sont à prendre avec d’infinies précautions compte tenu des difficultés que nous avons rencontrées pour trouver les vraies raisons qui ont poussé le chef de l’Etablissement à exclure, ne-serait-ce que provisoiremenent, l’adolecent.

La question que tout le monde se pose ici, « avec une certaine angoisse », est de savoir si Dileyta fera de nouveau appel au Grand Marabout Sénégalais (qui avait contribué à son maintien dans le poste) pour faire réintégrer sa progéniture. Mais si cela doit lui coûter un terrain et une maison à chaque fois, on comprend qu’il puisse légitimement hésité !