21/07/05 (B307) Moussa Chehem, alias « Le petit Caporal », membre très influent de l’Ordre des Brosses à Reluire et Ambassadeur de Djibouti à Bruxelles fait de nouveau parler de lui et, (comme c’est curieux) toujours en mal ! Refus d’assistance à personne en danger, cette fois. Au pénal ça irait chercher dans les combien ?

Chers lecteurs, chers amis de la démocratie et des libertés humaines,

Je vous écris aujourd’hui à propos d’un Djiboutien, ancien employé de l’Ambassade de Djibouti à Bruxelles. Il se nomme Mohamed Othman Ali et il est aujourd’hui dans un état critique à l’hôpital Brugmann à Bruxelles où l’on peut craindre une fatale issue dans un délai court.

Pour ceux qui ne le connaissent pas, il est le fils de Feu Othman Ali Othman, ancien grand chanteur djiboutien, issu de la communauté minoritaire arabe. Son frère, monsieur Adel Mohamed Othman est affecté à l’ambassade de Djibouti au Caire.

Encore une fois, SE Excellence Monsieur Mohamed Moussa Chehem a manqué tous ses devoirs.

Selon des sources très sûres, il aurait refusé de confirmer que le pauvre Mohamed Othman Ali est bel et bien cloué sur un lit d’hôpital. Cette information était demandée par l’ambassade de France sise à Djibouti.

Cette attestation, pourtant simple à délivrer par notre cher ambassadeur, aurait facilité la procédure d’obtention du visas à la mère du malade qui a tant besoin de voir son fils avant qu’il ne soit trop tard…

Pourquoi traiter de cette manière un enfant du pays qui a pourtant servi avec le maximum d’énergie cette même Ambassade au temps de Hassan Idriss à Bruxelles.

Pourquoi le régime djiboutien maintient-il ce genre de personne à un tel poste de responsabilité ?

Moussa Chehem n’est-il pas censé servir la communauté djiboutienne de la Belgique ?

Désormais, nous serons tous des opposants.