30/11/05 (B326) La fermeture programmée d’avance de la poste de Djibouti ? (Par un cadre supérieur)

Au mois de septembre 2004 jusqu’au mois de septembre 2005 se sont produits à la poste de Djibouti des actes répréhensibles pénalement.

Depuis quelques jours débarque à la poste, de bonheur, une équipe de la gendarmerie nationale qui enquête sur la destruction volontaire des quantités très importantes des courriers à la période précitée.

Mais, la question qui se pose est : qui peut être le responsable de telles méchancetés ?

La réponse est simple quand on est à djibouti. Parce qu’un adage de chez nous dit : « Bur ahawe ama bur ku tirsanawe » = « pour pouvoir vivre à Djibouti soit quelqu’un de bien placé ou soit d’une famille bien placé dans l’appareil dirigeante ».

Le coupable ne sera jamais gêné, se sont des pauvres employés de la poste qui serviront de bouc émissaire.

Sachant que la concession à 1 franc Djibouti symbolique à un privé le fond de commerce des courriers express « TNT » qui appartenait à la poste n’est pas de la capacité des pauvres employés ;

La participation des individus qui ne travaillaient pas à la poste de Djibouti à des réunions et conférences internationales du secteur postal ;

La prise en charge des tickets d’avion des amis par la poste de Djibouti ;

Et on parle même actuellement la disparition des millions des francs Djibouti dans la comptabilité de la poste.

Autant des preuves qui innocentent les pauvres employés des services de tri et guichets de la poste de djibouti.

Un haut cadre de la poste.