13/12/05 (B328) Avis de recherche des causes de disparitions mystérieuses et demande d’une enquête internationale, pour porter les affaires devant les tribunaux pénaux internationaux. (Lecteurs)

Demande urgente de Recherches pour déterminer
les circonstances de morts mystérieuses.

Ces victimes auraient été exécutées par la police parallèle
aux ordres de la présidence.

Appel à tous les djiboutiens épris d’une Justice pour mettre fin à l’impunité.

En vue d’un regroupement des plaintes sur le plan international, il est demandé au djiboutiens(nes) d’informer l’ARDHD(*) pour compléter et donner d’amples informations sur les circonstances de ces crimes odieux.

Ceux qui les ont tués résident en majorité à Djibouti, d’autres à l’étranger.

Certains ont même eu des promotions et l’un a été décoré Ces assassinats sont d’ordre politiques ou pour des indélicatesses. Les familles des victimes déposeront des plaintes et des dossiers bien ficelés seront nécessaires aux avocats internationaux.

Le groupe clandestin pour mettre fin à la poursuite
des crimes en République de Djibouti

1. Ali Guelleh dit Janaaleh ancien FLCS le 23/06/1977 à Loyada frontière entre la Somalie et Djibouti. (Saad Mousse) L’auteur principal était le frère d’IOG Idriss Omar Guelleh confirmé à la BBC en langue Somali par Aden Robleh;

2. Lieutenant Moussa Houssein Abdi le 12/04/1992 ancien FLCS et parti avec Aden Robleh, il a été empoisonné avec six autres personnes à Diré-Dawa en Ethiopie. (Saad Mousse) ;

3. Hamoud Ahmed Farah le 16/10/1990 liquidé en Ethiopie pour appartenir à un réseau politique clandestin. (Saad Mousse) ;

4. Abdillahi Doualeh Eleyee Yonis le 16/10/1990 en Ethiopie Même affaire que Hamoud Ahmed (Yonis Mouse) ;

5. Abdallah Ahmed Farah en 1992 Diré Dawa en Ethiopie (frère de Hamoud Ahmed Farah et cousin de Ahmed Guireh. (Saad Mousse)

6. Abdi Ahmed Hirab en août 1992 à Djibouti un cousin de Guireh un yéménite djiboutien libéré de Gabode et renvoyé au Yémen et parti le même jour avec Adouani, de l’attentat d’Historil qui avait tué plusieurs spécialistes en océanologie. (Saad Mousse);

7. Abdi Houfaneh Liban 1996 en Ethiopie en Ethiopie Même réseau qu’avait créé Hamoud Ahmed. (Saad Mousse);

8. Bogoreh Scheik Bouh 2004 torturé dans le camp militaire de Bal Bala pour lui prendre par la force sa carte grise et son terrain puis amené au cinquième Arrondissement où Abdo Isse dit fils de Aicha Galab était chef d’Arrondissement et ancien spécialistes des services secrets et qui est souvent parti à Bruxelles pour dans le jargon des policier : « predre la température » des djiboutiens de l’opposition. Il est Président de l’Association Fest Horn. Bogoreh S. Bouh a été évacué presque mourant Saad Mousse,où il est immédiatement mort. « Saad Mousse) ;

9. Lieutenant Mousse Mahamoud Nour dit Deheye, spécialiste du fichier de la Gendarmerie qui connaissait bien le dossier de l’Affaire Borel a été liquidé non loin d’Arta le 27/09/2002 deux jours après avoir vu le Président de la République et deux jours avant la venue des Journalistes d’Antenne 2 en provenance d’Addis Abeba, qu’il devait rencontrer. (Saad Mousse) ;

10. Hassan Aden Farah tué par balle le 13/02/199 à Djibouti voir l’article du journal Le Populaire n°41 du 13 février 1997 ; Ses enfants sont encore victimes et régulièrement menacés, ils n’ont pas le droit de travailler et ne peuvent pas quitter le pays. (Saad Mousse).Un des militaires qui l’aurait liquidé se trouve actuellement en Suède il s’agirait d’un certain Yabé, celui qui aurait tiré en pleine avenue Nasser et en plein jour serait aussi un gendarme proche cousin d’Ismaël Omar Guelleh qui est actuellement à la Garde Républicaine (Garde présidentielle), ainsi que d’autres complices.;

11. Houssein Hassan Moumin tué par balle lors d’une manifestation devant le Commissariat de police manifestation de soutien au Trésorier M. Nouh Omar Miguil actuellement Conseiller du Ministre des Finances. Lors des ces manifestations plusieurs jeunes sont été blessés par balle et certains d’entre eux ne peuvent plus travailler et restent sans indemnisations (Saad Mousse) ;

12. Abdi Houfaneh Liban 1996 ancien du FLCS liquidé en Ethiopie pour activités poliques contre le régime. (Yonis Mousse)

13. Docteur Gouled poignardé 2005 à Djibouti. Des soupçons d’interférence de la police politique. (Saad Mousse)

14. Mohamed Moussa Assoweh en 1983 à Djibouti ancien FLCS liquidé à Djibouti pour activités politiques contre le régime ; (Horoneh) ;

15. Youssouf Ismael Idley, fils adoptif du Président Moussa Ahmed Idriss candidat unique de l’Opposition des élections présidentielles d’avril 1999. Il fut tué par balle dans le logement de Moussa Ahmed lors de l’arrestation du candidat le 11 septembre 1999, en pour avoir publié un communiqué d’Ahmed Dini en tant que Président du Frud Armé alors que le même communiqué avait été publié par le journal gouvernemental. (Horoneh) ;

16. Mohamed Djame Elabe ancien Ministre, Président du premier parti de l’Opposition en République de Djibouti en 1992. Il est mort en 1996 dans des circonstances mystérieuses, mais tout le monde connaît le dossier. (Fourlaba) ;

17. Général Yacin victime de la non-assistance à personne en danger (Fourlaba).

18. Moussa Bouralleh Robleh ancien Ministre a créé le Groupe pour la Démocratie et la République (GDR), groupe parlementaire de l’Opposition et il serait décédé après avoir été empoisonné le jour suivant la création du GDR ;(Horoné°)

19. Bileh Gamileh Egueh Handicapé de guerre, tué par balle devant le Palais présidentiel en 2002. Lors de cette tuerie plusieurs handicapés ont été fauchés par les balles. .(Ourweyne) L’auteur de ce crime,parmi tant d’autres, est l’officier de la garde présidentiel M. Mohamed Djama actuellement promu colonel de la Garde Républicaine ( garde présidentielle) et décoré de la plus grande médaille

20. Docteur Mohamed Djama Yacin 1992 liquidé par balles à Djibouti. Il aurait refusé de vendre des produits extrêmement sensibles, sa conscience de pharmacien ne lui avait pas permis. (Mamassan) ;

21. Commissaire Ahmed Idriss dit Garaf à Djibouti poignardé en 1991 Commissaire à la SDS , il avait participé à des sales affaires, comme le Café de Paris, il fut liquidé pour « indélicatesses » avec ses rencontres publiques d’un responsable de la diplomatie française en poste à Djibouti, qui a d’ailleurs quitté rapidement Djibouti. (Mamassan) ;

22. Mohamed Daher Robleh dit Waharta en 1997 à Borama licencié par Zakaria, il connaissait parfaitement le dossier du Café de Paris. Ses activités politiques dans le réseau clandestin étaient très appréciées. (Gadaboursi). Les financiers de ce crime seraient bien connus.

Une enquête internationale s’avère plus que nécessaire et permettrait de prévenir d’autres crimes aussi odieux et intolérables, surtout avant que l’esprit de vengeance n’éclate.

(*) L’ARDHD a pris depuis plusieurs années, l’engagement de soutenir toutes celles et tous ceux qui souhaiteront porter devant la Justice, des cas de violence, de torture, d’exécutions sommaires et de violation des Droits de l’Homme.

Elle propose d’accueillir les victimes ou leurs familles et de les aider, avec ses Conseils, à constituer des dossiers. Bien sur et comme elle l’a toujours fait, elle garantit l’anonymat des plaignants durant leurs premières démarches. Rappelons, à ce propos, que le Président de l’ARDHD a répondu personnellement des textes publiés sur le site, parce qu’il a refusé de dévoiler les sources et les noms des auteurs de ces textes.