29/12/05 (B330) J’écris pour exprimer mon opinion, même si je dois être mal vu pour cela ! Tant que mes propos seront conformes à la vérité, je n’hésiterai pas à m’exprimer et j’assume totalement mes prises de position. (Lecteur)


Les différents communautés djiboutiennes ne doivent pas se haïr. Nous avons un seul et unique ennemi, un barbare, un criminel infernal, un boucher, un confiscateur de paix, un ennemi des Droits de l’Homme, bref un véritable monstre.

IOG cessera de ruiner l’économie de Djibouti, de tuer des innoçents, de conduire des opérations de guerre au nord de la capitale. Ce dernier acte digne d’un chef barbare ne fera que resserrer nos rangs dans l’opposition afin que nous nous débarrassions du fléau qui a ligoté Djibouti. Avait-on jamais rien vu d’équivalent.

IOG est en train d’empiler le bois pour son propre bûcher, le monstre ne saurait nous inspirer de la terreur, si nous (les opposants) nous serrons les dents, sachant bien que, quand même nous devrions mourir jusqu’au dernier, le judas moderne et son infernale vengeance seront balayés.

Pour atteindre ce but de justice, nous devons joindre à la patience, la détermination sans faille, la fraternité totale et l’assuidité pour conduire cette tâche avec l’énergie nécessaire..

Nous Djiboutiens verserons volontiers le sang pour nous débarraser de ce monarque criminel et d’une cour criminelle aussi. Ils von finir par réussir à transformer le peuple de Djibouti, qui est de nature docile, en une horde de sauvages assoiffés de liberté et de vengeance pour toutes les humiliations subies.

Au nord de Djibouti ainsi qu’à ARHIBA 2 (les 18 décembre 1991 et 30 novembre 2005) des innocents sans défense ont rencontré la mort portée par les sbires du régime. Bernard Borrel, un grand juge français l’a aussi rencontré en 1995. Tué froidement par des coups portés par derrière puis à demi-carbonisé sans état-d âme, il est une victime supplémentaire des maudits (Au passge, je présente à sa veuve Madame Elisabeth Borrel et à ses enfants, toute ma compassion pour ce qu’ils ont subis).

IOG aura à répondre, le grand jour où il sera jugé par le Tribunal pénal international (à La Haye), pour crimes contre l’Humanité et ensuite devant la Justice française pour avoir "pris" injustement et gratuitement la vie du juge Borrel.

Nous les opposants, nous devons être unis par une confiance sans faille autour d’un objectif unique : mettre un terme aux agissements de Guelleh et de sa bande.