23/03/06 (B342-B) Mise en garde de la SPC pour un risque de contagion grave dans la Corne de l’Afrique. Niveau d’alerte 4 (sur 5) (Humour)

La SPC (Société Protectrice des Casseroles ayant son siège international et un observatoire très perfectionné à Bruxelles) a lancé dès hier une mise en garde sévère (niveau d’alerte 4 sur une échelle qui en compte 5) au sujet d’un risque de contagion par les casseroles infectées au virus Hborrel_95, hautement pathogène.


Roger Picon

Selon ce communiqué, on enregistrerait au sein des Palais de Justice de Paris et de Versailles, une recrudescence anormale de nouvelles naissances de casseroles génétiquement infectées. Les raisons ne sont pas déterminées avec précision, mais il semble qu’un contexte actuel, particulièrement favorable, soit à l’origine de l’éclosion et du développement d’un grand nombre d’embryons.

Certaines populations originaires des zones de la Corne de l’Afrique seraient plus sensibles à l’infection, car elles souffriraient d’une forme extrêmement précise de carence immunitaire génétique qui protège normalement contre les effets dévastateurs du virus Hborrel_95. On cite parfois certaines familles Mamassan.

Il est à craindre que l’épidémie puisse toucher dans les prochaines semaines, certains représentants de ces ethnies, déjà présents sur le sol français et on craint même que la pendémie (il faut bien employer ce mot) ne s’abatte sur des zones très localisées de Djibouti, lors de la migration annuelle des casseroles.

L’alerte maximum concerne certains bâtiments : palais d’Haramous, palais de l’Escale, siège de la Gendarmerie et de la SDS, bureaux et résidences de certains magistrats, …. où les casseroles établissent leurs nids d’été.

Nous sommes malheureusement dans l’incapacité de donner la liste exhaustive des zones à risque.

Le virus Hborrel_95 est hautement pathogène et il semble qu’il ait acquis dans les dernières semaines, une nouvelle capacité de résistance aux traitements habituellement utilisés et en particulier la quadri-théraphie constituée des quatre médicaments associés qui permettaient de retarder l’apparition des symptômes, à savoir le Chirac_05, le DousteB06, l’Alliot-Marine et la Villepine_T12, que l’on administrait en case de crise aiguë, avec des résultats satisfaisants !

S’il se confirmait que cette théraphie n’apporte plus les soulagements escomptés, on pourrait craindre le développement d’une véritable hécatombe parmi les sujets à risque.

La SPC, dans son communiqué, n’exclut pas la convocation de ces personnes pour des visites médicales de routine et peut-être même pour des mises en examen approfondi … Certains spécialistes pensent que le recours à la quarantaine puisse être décidé dans certains cas extrêmes avec surveillance à vue prolongée.

La migration des casseroles de l’Europe vers l’Afrique de l’Est commence généralement à partir du 15 avril et se poursuit en mai et en juin. Nous en saurons plus à ce moment-là.

Les experts consultés par notre Association s’accordent sur la probabilité d’un Pic de contagion et d’urticaire aux alentours du 27 juin, à l’époque des grands rassemblements publics de volontaires désignés dans le stade Gouled. On devrait enregistrer ensuite une baisse sensible de l’alerte aux alentours du 14 juillet, période traditionnellement favorable pour l’apaisement des tensions et des symptomes irritants.