01/11/06 (B367) Comme cela avait été anticipé, le régime d’IOG, inquiet et furieux des derniers développements de l’Affaire Borrel en France, n’a rien trouvé de mieux que de s’attaquer à la famille d’Alhoumekani, témoin principal. La france aurait-elle soufflé aux autorités djiboutiennes de faire pression sur les témoins pour pouvoir classer l’affaire ? Possible, selon certaines sources. (ARDHD)

Selon des sources
djiboutiennes, il semblerait que le frère ainé d’Alhoumekani
ait été arrêté arbitrairement par la section brigade
criminelle de la Police djiboutienne.

Après avoir
contacté M. Alhoumekani à Bruxelles pour lui demander de confirmer
l’information, ce dernier a répondu, qu’il n’était pas étonné
de ce type de harcèlement et de chantage qui porte la signature du
regime dictatorial et totalitaire.

Il a rappelé
que des manoeuvres semblables avaient été utilisées récemment
contre les parents d’Ali Iftin, résidents en Somalie.

Il a confirmé
avoir été informé de cette arrestation par des sources
proches du regime, mais sans en connaître les motifs officiels.

D’autres sources
contactées à Djibouti ont affrimé qu’Hassan Saïd
et Djama Souleiman voudraient arriver par tous les moyens à obtenir
la rétractation des deux témoins Alhoumekani et Ali Iftin et
qu’ils seraient même décidés à torturer ou à
élminer des membres de leur famille.

M. Alhoumekani
a ajouté qu’il avait informé dès à présent,
les media français et européens, les Justices française
et belge et leurs Ministères des Affaires étrangères,
de la campagne de harcèlement que ménent les autorités
djiboutiennes à l’encontre des membres de leurs familles restés
au Pays.

Il a conclu en
précisant que si quelque chose devait arriver, IOG, Hassan Said, Djama
Souleiman et les policiers qui retiennent leurs familles seraient traduits
un jour devant la Justice et qu’ils devraient répondre de leurs actes.

Il a rappelé
que son frère est très gravement malade et qu’il a été
operé du coeur à deux reprises.

Alhoumekani considère
que les autorités françaises seraient aussi responsables de
ces actes, car elles en ont été informées en temps voulu
…. A suivre